L'été rouge
Edition l'aube noire poche - 224 pages.
Edition l'aube noire poche - 224 pages.
Présentation de l’éditeur :
Côte du Pacifique, Costa Rica. Un Éden où les pinèdes sont massacrées afin de permettre la construction de villas luxueuses pour des investisseurs étrangers… et des caïds de la drogue. Un Éden où il fait terriblement chaud, où l’alcool ne peut faire oublier le sable, la poussière et le vent. C’est là, dans un tranquille village de pêcheurs, qu’est découvert sur la plage le cadavre d’une femme, surnommée l’Argentine. Don Chepe, ancien guérillero qui a lutté aux côtés des sandinistes, décide de retrouver l’assassin de son amie. Une enquête qui le conduit à découvrir les liens obscurs entre passé et présent, utopie et désenchantement… et à revisiter l’histoire de son pays.
Entre torpeur et violence, ce livre nous colle à la peau.
Mon avis :
J’ai déniché cette rareté à la F*** de Rouen, et je suis ravie de cette rencontre avec un polar costaricien.
D’après le narrateur, le Coas-Rica s’est u un peu la Suisse de l’Amérique du Sud : neutralité, tranquillité et condition de vie assez agréable. Les troubles politiques, les dictatures et autres exactions qui ont touché les autres pays de ce continent n’ont eu que peu de répercussion sur ce beau pays, aux plages réputées.
Bien sûr la réalité est tout autre, et ce n’est pas Don Chepe qui dira le contraire, encore moins Iliana, dont le corps est retrouvé dans un lieu idyllique. Elle était une femme respectée, estimée, qui a pris soin des siens, même après sa mort. Alors, qui ?
Parfois, les personnes sont exactement ce qu’elles paraissent être, parfois, non. On ne change pas, et Don Chepe, pour rendre justice à son amie, retrouve ses réflexes d’ancien guerillero. Pas du genre à se plaindre, Don Chepe, quoi qu’il lui arrive. Il n’est pas une froide machine de guerre insensible non plus, mais un homme qui continue à trop en voir.
Eté rouge est un roman à lire pour tous ceux qui aiment les romans policiers et veulent en savoir plus sur l’Amérique du Sud.
Côte du Pacifique, Costa Rica. Un Éden où les pinèdes sont massacrées afin de permettre la construction de villas luxueuses pour des investisseurs étrangers… et des caïds de la drogue. Un Éden où il fait terriblement chaud, où l’alcool ne peut faire oublier le sable, la poussière et le vent. C’est là, dans un tranquille village de pêcheurs, qu’est découvert sur la plage le cadavre d’une femme, surnommée l’Argentine. Don Chepe, ancien guérillero qui a lutté aux côtés des sandinistes, décide de retrouver l’assassin de son amie. Une enquête qui le conduit à découvrir les liens obscurs entre passé et présent, utopie et désenchantement… et à revisiter l’histoire de son pays.
Entre torpeur et violence, ce livre nous colle à la peau.
Mon avis :
J’ai déniché cette rareté à la F*** de Rouen, et je suis ravie de cette rencontre avec un polar costaricien.
D’après le narrateur, le Coas-Rica s’est u un peu la Suisse de l’Amérique du Sud : neutralité, tranquillité et condition de vie assez agréable. Les troubles politiques, les dictatures et autres exactions qui ont touché les autres pays de ce continent n’ont eu que peu de répercussion sur ce beau pays, aux plages réputées.
Bien sûr la réalité est tout autre, et ce n’est pas Don Chepe qui dira le contraire, encore moins Iliana, dont le corps est retrouvé dans un lieu idyllique. Elle était une femme respectée, estimée, qui a pris soin des siens, même après sa mort. Alors, qui ?
Parfois, les personnes sont exactement ce qu’elles paraissent être, parfois, non. On ne change pas, et Don Chepe, pour rendre justice à son amie, retrouve ses réflexes d’ancien guerillero. Pas du genre à se plaindre, Don Chepe, quoi qu’il lui arrive. Il n’est pas une froide machine de guerre insensible non plus, mais un homme qui continue à trop en voir.
Eté rouge est un roman à lire pour tous ceux qui aiment les romans policiers et veulent en savoir plus sur l’Amérique du Sud.