L'EMPEREUR C'EST MOI
Récit autobiographique édité au livre de poche en février 2015
168 pages
Résumé
Hugo Horiot a été un enfant autiste Asperger. Plongeant dans sa mémoire, il raconte sa souffrance d’avoir été différent, son refus de parler, son désir d’avoir voulu être un autre jusqu’à changer de nom. Au fil des chapitres, il nous entraîne avec lui. Il a quatre ans, huit ans, douze ans. Il a peur. Il se cogne à l'absurdité de la vie comme un papillon contre une lampe. Il est parfois cruel. À travers ce témoignage, il nous fait part de ce qui se passe dans la tête d’un enfant autiste extrêmement intelligent, ses obsessions, ses angoisses, son regard sur notre monde et la guerre sans merci qu’il mène contre lui-même et contre les autres. L’autoportrait d’une justesse troublante et d’une sincérité désarmante d’un enfant en colère.
Un récit de combat, intense, puissant. Une leçon de vie. Astrid de Larminat, Le Figaro.
Un très beau texte sur la différence. Jacqueline Demornex, Service littéraire.
Mon ressenti
Edifiant et époustouflant, les mots claquent et font mal. Je suis frappée et touchée à la fois par ce témoignage rare sur cette maladie, cet enfermement que nous ne percevons pas et la violence reçue, donnée. Au travers de ce filtre, Hugo nous livre son moi profond et son regard sur le monde.
Que dire de plus, lisez ce livre et entrez dans son monde. Cette ouverture sur leur monde, pourra peut-être d’aller plus loin dans la compréhension de cette maladie mais changera certainement notre regard sur ces enfants ou adultes atteints d’autisme.
Françoise Lefèvre, sa mère qui a écrit le petit prince cannibale et relatant ainsi son expérience de maman avec son fils, découvre comme le lecteur le regard de son fils sur le monde et sa volonté farouche de se sauvegarder malgré la pression.
Un grand moment
Récit autobiographique édité au livre de poche en février 2015
168 pages
Résumé
Hugo Horiot a été un enfant autiste Asperger. Plongeant dans sa mémoire, il raconte sa souffrance d’avoir été différent, son refus de parler, son désir d’avoir voulu être un autre jusqu’à changer de nom. Au fil des chapitres, il nous entraîne avec lui. Il a quatre ans, huit ans, douze ans. Il a peur. Il se cogne à l'absurdité de la vie comme un papillon contre une lampe. Il est parfois cruel. À travers ce témoignage, il nous fait part de ce qui se passe dans la tête d’un enfant autiste extrêmement intelligent, ses obsessions, ses angoisses, son regard sur notre monde et la guerre sans merci qu’il mène contre lui-même et contre les autres. L’autoportrait d’une justesse troublante et d’une sincérité désarmante d’un enfant en colère.
Un récit de combat, intense, puissant. Une leçon de vie. Astrid de Larminat, Le Figaro.
Un très beau texte sur la différence. Jacqueline Demornex, Service littéraire.
Mon ressenti
Edifiant et époustouflant, les mots claquent et font mal. Je suis frappée et touchée à la fois par ce témoignage rare sur cette maladie, cet enfermement que nous ne percevons pas et la violence reçue, donnée. Au travers de ce filtre, Hugo nous livre son moi profond et son regard sur le monde.
Que dire de plus, lisez ce livre et entrez dans son monde. Cette ouverture sur leur monde, pourra peut-être d’aller plus loin dans la compréhension de cette maladie mais changera certainement notre regard sur ces enfants ou adultes atteints d’autisme.
Françoise Lefèvre, sa mère qui a écrit le petit prince cannibale et relatant ainsi son expérience de maman avec son fils, découvre comme le lecteur le regard de son fils sur le monde et sa volonté farouche de se sauvegarder malgré la pression.
Un grand moment