L'ART D’ÊTRE GRAND-PÈRE
Poésie, classique édité chez Galimard en avril 2002
265 pages
Résumé
L'Art d'être grand-père est un livre majeur par son ampleur, sa diversité, son architecture et l'entrelacement de ses thèmes, mais souvent ignoré du fait d'un titre réducteur qui suggère une succession de «recettes» pour séduire et amadouer les petits-enfants. Il s'agit en fait, comme toujours chez Victor Hugo, d'une somme qui se développe infiniment, et déborde sans cesse le cadre initial. Si le grand-père Hugo parle bien à ses petits-enfants et se réapproprie en leur nom le territoire de l'enfance (y compris l'apprentissage de la langue, les refrains et les chansons), l'œuvre ne ressemble en rien à une suite d'enfantillages. Et c'est sans doute le message principal de ce recueil : la poésie destinée aux enfants se doit d'être de la poésie pour tous, avec sa part d'obscurité, son emportement, voire son érudition.
Mon ressenti
Pour cet été, j’avais envie de lire un livre de Victor Hugo que je ne connaissais pas (et oui, c’est ainsi). Je ne suis pas une adepte de poésie et c’est donc le hasard qui a mis sur mon chemin ce livre. Je n’ai pas eu l’impression de lire de la poésie, j’aime l’écriture de Victor qui encore aujourd’hui, continue de m’émerveiller par son lyrisme, sa justesse, sa profondeur.
L’art d’être grand-père n’est pas un livre de recette pour grands-parents, c’est l’occasion pour Victor de s’interroger sur différents thèmes parce que ses petits-enfants dans leur spontanéité viennent impulser d’autres possibles et par la même nous faire partager avec bonheur le fruit de ses réflexions avec tendresse, fierté et douceur.
A déguster encore et encore
Poésie, classique édité chez Galimard en avril 2002
265 pages
Résumé
L'Art d'être grand-père est un livre majeur par son ampleur, sa diversité, son architecture et l'entrelacement de ses thèmes, mais souvent ignoré du fait d'un titre réducteur qui suggère une succession de «recettes» pour séduire et amadouer les petits-enfants. Il s'agit en fait, comme toujours chez Victor Hugo, d'une somme qui se développe infiniment, et déborde sans cesse le cadre initial. Si le grand-père Hugo parle bien à ses petits-enfants et se réapproprie en leur nom le territoire de l'enfance (y compris l'apprentissage de la langue, les refrains et les chansons), l'œuvre ne ressemble en rien à une suite d'enfantillages. Et c'est sans doute le message principal de ce recueil : la poésie destinée aux enfants se doit d'être de la poésie pour tous, avec sa part d'obscurité, son emportement, voire son érudition.
Mon ressenti
Pour cet été, j’avais envie de lire un livre de Victor Hugo que je ne connaissais pas (et oui, c’est ainsi). Je ne suis pas une adepte de poésie et c’est donc le hasard qui a mis sur mon chemin ce livre. Je n’ai pas eu l’impression de lire de la poésie, j’aime l’écriture de Victor qui encore aujourd’hui, continue de m’émerveiller par son lyrisme, sa justesse, sa profondeur.
L’art d’être grand-père n’est pas un livre de recette pour grands-parents, c’est l’occasion pour Victor de s’interroger sur différents thèmes parce que ses petits-enfants dans leur spontanéité viennent impulser d’autres possibles et par la même nous faire partager avec bonheur le fruit de ses réflexions avec tendresse, fierté et douceur.
A déguster encore et encore