AGATHA CHRISTIE, LE CHAPITRE DISPARU
Roman édité chez Flammarion en janvier 2016
263 pages
Résumé
Hiver 1926.
Agatha Christie disparaît pendant dix jours. Personne ne sait ce qu'elle est devenue, les presses britannique et française pensent qu'elle a été kidnappée ou assassinée.
L'auteure se met dans la peau de la romancière pour revenir sur cette période mystérieuse.
Mon ressenti
Un bon moment de lecture somme toute mais je m’attendais à être emporter un peu plus. C’est bien écrit, le propos et l’idée du livre est excellente. La disparition d’Agatha pendant 10 jours reste toujours un mystère aujourd’hui et se prête à toutes hypothèses.
L’auteure se met dans la peau d’Agatha et imagine en s’appuyant sur des faits réels de l’époque, ce qu’est arrivé à la grande dame du roman policier.
C’est un livre dans un livre, vrai, faux ? Le lecteur finit par se perdre gentiment. Je pense que j’avais une autre image d’Agatha Christie (et que je garde toujours d’ailleurs) que celle qu’en donne Brigitte Kernel qui parfois en fait une femme un peu cruche. C’est une femme blessée dans son estime que le lecteur suit tout au long de ces pages… alors vengeance de femme bafouée ? Besoin d’isolement ? Enlèvement ?
A vous de vous faire votre idée
Roman édité chez Flammarion en janvier 2016
263 pages
Résumé
Hiver 1926.
Agatha Christie disparaît pendant dix jours. Personne ne sait ce qu'elle est devenue, les presses britannique et française pensent qu'elle a été kidnappée ou assassinée.
L'auteure se met dans la peau de la romancière pour revenir sur cette période mystérieuse.
Mon ressenti
Un bon moment de lecture somme toute mais je m’attendais à être emporter un peu plus. C’est bien écrit, le propos et l’idée du livre est excellente. La disparition d’Agatha pendant 10 jours reste toujours un mystère aujourd’hui et se prête à toutes hypothèses.
L’auteure se met dans la peau d’Agatha et imagine en s’appuyant sur des faits réels de l’époque, ce qu’est arrivé à la grande dame du roman policier.
C’est un livre dans un livre, vrai, faux ? Le lecteur finit par se perdre gentiment. Je pense que j’avais une autre image d’Agatha Christie (et que je garde toujours d’ailleurs) que celle qu’en donne Brigitte Kernel qui parfois en fait une femme un peu cruche. C’est une femme blessée dans son estime que le lecteur suit tout au long de ces pages… alors vengeance de femme bafouée ? Besoin d’isolement ? Enlèvement ?
A vous de vous faire votre idée