LES FERRAILLEURS (T.1) LE CHÂTEAU
Roman édité chez Grasset en mars 2015
484 pages
Résumé
Au milieu d’un océan de détritus composé de tous les rebuts de Londres se dresse la demeure des Ferrayor. Le Château, assemblage hétéroclite d’objets trouvés et de bouts d’immeubles prélevés à la capitale, abrite cette étrange famille depuis des générations. Selon la tradition, chacun de ses membres, à la naissance, se voit attribuer un objet particulier, dont il devra prendre soin toute sa vie. Clod, notre jeune héros, a ainsi reçu une bonde universelle – et, pour son malheur, un don singulier : il est capable d’entendre parler les objets, qui ne cessent de répéter des noms mystérieux…
Tout commence le jour où la poignée de porte appartenant à Tante Rosamud disparaît ; les murmures des objets se font de plus en plus insistants ; dehors, une terrible tempête menace ; et voici qu’une jeune orpheline se présente à la porte du Château…
Premier tome d’une trilogie superbement illustrée par l’auteur, Le Château nous plonge dans un univers pareil à nul autre, fantasmagorique et inquiétant, gothique et enchanteur. Edward Carey y révèle des talents de conteur, de dessinateur et de magicien qui font de lui le fils spirituel de Tim Burton et de Charles Dickens.
Mon ressenti
J’ai adoré l’idée de ce livre, le lien qui unit une personne à son objet de naissance. C’est génial comme idée, j’ai déchanté au fur et à mesure lorsque j’ai compris de quoi était faite cette tradition. Ambiance étrange, gothique, je me suis enfoncée dans ce château avec pour guide le sympathique Clod, jeune garçon qui va bientôt devenir un homme ! C’est le cœur léger que j’ai suivi ses aventures mais au fur et à mesure, le livre a déteint sur mon humeur comme sur celui de ses personnages. Les illustrations magnifiques (bien que je n’aime pas toujours le graphisme des regards), le côté noir et blanc, puis le côté très sombre, ce que je lisais, ont fait que petit à petit, j’étais comme engourdie et les pages étaient de plus en plus longues à tourner. Rajouté à cela, des répétitions et redondances, qui viennent ralentir le rythme.
Intéressant comme processus, plus je me sentais engourdie plus les objets prenaient de la place, plus le château prenait l’eau. En tout cas, j’ai hâte de retrouver de la couleur…
J’aime cette histoire bizarre qui nous mène dans un univers étrange mais au combien nous connaissons : nos déchets ! Que ce soit au propre comme au figuré, ils sont toujours au banc de notre société et pourtant….
J’ai acheté le second opus : si le 1er opus met en évidence Clod sur la couverture qui est bleu (normal c’est un garçon) le second met en évidence Lucy (amie de Clod) et la couverture est rose (normal pour une fille !), j’ai hâte de voir si dans le dernier opus, la couleur pénètre dans cet univers…
A découvrir
Roman édité chez Grasset en mars 2015
484 pages
Résumé
Au milieu d’un océan de détritus composé de tous les rebuts de Londres se dresse la demeure des Ferrayor. Le Château, assemblage hétéroclite d’objets trouvés et de bouts d’immeubles prélevés à la capitale, abrite cette étrange famille depuis des générations. Selon la tradition, chacun de ses membres, à la naissance, se voit attribuer un objet particulier, dont il devra prendre soin toute sa vie. Clod, notre jeune héros, a ainsi reçu une bonde universelle – et, pour son malheur, un don singulier : il est capable d’entendre parler les objets, qui ne cessent de répéter des noms mystérieux…
Tout commence le jour où la poignée de porte appartenant à Tante Rosamud disparaît ; les murmures des objets se font de plus en plus insistants ; dehors, une terrible tempête menace ; et voici qu’une jeune orpheline se présente à la porte du Château…
Premier tome d’une trilogie superbement illustrée par l’auteur, Le Château nous plonge dans un univers pareil à nul autre, fantasmagorique et inquiétant, gothique et enchanteur. Edward Carey y révèle des talents de conteur, de dessinateur et de magicien qui font de lui le fils spirituel de Tim Burton et de Charles Dickens.
Mon ressenti
J’ai adoré l’idée de ce livre, le lien qui unit une personne à son objet de naissance. C’est génial comme idée, j’ai déchanté au fur et à mesure lorsque j’ai compris de quoi était faite cette tradition. Ambiance étrange, gothique, je me suis enfoncée dans ce château avec pour guide le sympathique Clod, jeune garçon qui va bientôt devenir un homme ! C’est le cœur léger que j’ai suivi ses aventures mais au fur et à mesure, le livre a déteint sur mon humeur comme sur celui de ses personnages. Les illustrations magnifiques (bien que je n’aime pas toujours le graphisme des regards), le côté noir et blanc, puis le côté très sombre, ce que je lisais, ont fait que petit à petit, j’étais comme engourdie et les pages étaient de plus en plus longues à tourner. Rajouté à cela, des répétitions et redondances, qui viennent ralentir le rythme.
Intéressant comme processus, plus je me sentais engourdie plus les objets prenaient de la place, plus le château prenait l’eau. En tout cas, j’ai hâte de retrouver de la couleur…
J’aime cette histoire bizarre qui nous mène dans un univers étrange mais au combien nous connaissons : nos déchets ! Que ce soit au propre comme au figuré, ils sont toujours au banc de notre société et pourtant….
J’ai acheté le second opus : si le 1er opus met en évidence Clod sur la couverture qui est bleu (normal c’est un garçon) le second met en évidence Lucy (amie de Clod) et la couverture est rose (normal pour une fille !), j’ai hâte de voir si dans le dernier opus, la couleur pénètre dans cet univers…
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