LES FEMMES QUI LISENT SONT DANGEREUSES
Histoire de l’art, édité chez Flammarion en mars 3006
149 pages
Résumé
Les femmes et la lecture dans l'art occidental " Les livres ne sont pas des objets comme les autres pour les femmes ; depuis l'aube du christianisme jusqu'à aujourd'hui, entre nous et eux, circule un courant chaud, une affinité secrète, une relation étrange et singulière tissée d'interdits, d'appropriations, de réincorporations. " Laure Adler
Mon ressenti
Quelle idée flamboyante pour un titre aussi prometteur et questionnant au-delà des mots. Offert par mon charmant, avec un sourire plus grand qu’une banane, que devais-je en déduire ? Heureusement que nous nous connaissons bien, sinon je me serais dit qu’il y avait un message.
En tout cas, le livre en livre un. Et si la femme en lisant accédait à la culture, à la réflexion ou pouvait tout simplement penser par elle-même ? Pendant longtemps, l’éducation était prodiguée uniquement aux hommes. Lire est devenu une ouverture, une perspective d’émancipation. Laure Adler explique que les femmes ont établi, à force de frustrations, d’interdits, une relation toute particulière avec les livres : la lecture devenant une clé vers la liberté. Interdit de lire, car la lecture était source d’oisiveté. De là, à penser que le livre était source de perversion, de perdition ou diabolisation, il n’y avait qu’un pas que beaucoup ont franchi.
Au travers des toiles du Moyen âge au XXe siècle, les femmes lisent, prennent la pose avec leur livre. Elles affichent ce que beaucoup cache. Aujourd’hui encore, les femmes ont une relation toujours particulière avec le livre. Elles achètent et lisent beaucoup plus que les hommes. Quelles réflexions pouvons-nous en tirer alors qu’il n’y a plus d’interdit ?
Le livre est très beau où défile une merveilleuse galerie de portrait enrichie par quelques textes qui font mouches.
Coup de cœur, à découvrir
Histoire de l’art, édité chez Flammarion en mars 3006
149 pages
Résumé
Les femmes et la lecture dans l'art occidental " Les livres ne sont pas des objets comme les autres pour les femmes ; depuis l'aube du christianisme jusqu'à aujourd'hui, entre nous et eux, circule un courant chaud, une affinité secrète, une relation étrange et singulière tissée d'interdits, d'appropriations, de réincorporations. " Laure Adler
Mon ressenti
Quelle idée flamboyante pour un titre aussi prometteur et questionnant au-delà des mots. Offert par mon charmant, avec un sourire plus grand qu’une banane, que devais-je en déduire ? Heureusement que nous nous connaissons bien, sinon je me serais dit qu’il y avait un message.
En tout cas, le livre en livre un. Et si la femme en lisant accédait à la culture, à la réflexion ou pouvait tout simplement penser par elle-même ? Pendant longtemps, l’éducation était prodiguée uniquement aux hommes. Lire est devenu une ouverture, une perspective d’émancipation. Laure Adler explique que les femmes ont établi, à force de frustrations, d’interdits, une relation toute particulière avec les livres : la lecture devenant une clé vers la liberté. Interdit de lire, car la lecture était source d’oisiveté. De là, à penser que le livre était source de perversion, de perdition ou diabolisation, il n’y avait qu’un pas que beaucoup ont franchi.
Au travers des toiles du Moyen âge au XXe siècle, les femmes lisent, prennent la pose avec leur livre. Elles affichent ce que beaucoup cache. Aujourd’hui encore, les femmes ont une relation toujours particulière avec le livre. Elles achètent et lisent beaucoup plus que les hommes. Quelles réflexions pouvons-nous en tirer alors qu’il n’y a plus d’interdit ?
Le livre est très beau où défile une merveilleuse galerie de portrait enrichie par quelques textes qui font mouches.
Coup de cœur, à découvrir