GLOIRE
Roman Edité chez Acte Sud en février 2009
174 pages
Résumé
Un homme ordinaire reçoit de nombreux appels destinés à une célébrité et se prend au jeu; un acteur de cinéma ne reçoit plus d'appels et commence à douter de sa carrière; un richissime écrivain de livres de sagesse renie tout ce qu'il a professé jusqu'alors; une femme décide de mourir, et se révolte contre l'écrivain qui l'a inventée; un écrivain de romans policiers se perd en Asie centrale où son portable ne fonctionne plus; un cadre supérieur gagne, grâce à son portable, le pouvoir de ne plus se trouver là où on l'imagine; et l'acteur du début, cherchant enfin l'anonymat, compte se servir de son double... Dans le rythme vif et musical qu'on lui connaît, Daniel Kehlmann compose dans son nouveau roman une mosaïque joyeuse et ironique à partir de notre société où les moyens de communication mettent en question le lieu même du réel - pendant que la course à la renommée fait tourner la tête à plus d'un. Daniel Kehlmann n'a pas fini d'étonner ses lecteurs et se joue allégrement de sa propre gloire. Un vrai régal littéraire - et divertissement garanti.
Mon ressenti
Neuf histoires qui sont reliées autour du thème de l’identité et de sa fragilité. Qu’est-ce que notre identité ? Encore plus complexe, lorsqu’il s’agit d’acteur, de chanteur ou tout simplement d’écrivain. Qui se cache derrière le nom, derrière le rôle, la chanson ou la plume ?
Entre l’image et la réalité, entre ce qu’il donne et ce que l’on prend, entre ce qu’il pense donner et ce que l’on interprète, l’identité se meut, grandit, change, évolue, se perd. Au travers les méandres de la communication via la technologie (qui n’a plus de secret pour nous), Daniel montre combien il est facile de se tromper, de se perdre au royaume des identités mirages. C’est avec brio qu’il nous amène tout simplement sur les versant de la manipulation en tout genre.
Neuf histoires comme des poupées russes, qui se lisent rapidement pour rappeler simplement, que quelle que soit la gloire, cette dernière ne fait en rien notre identité.
A découvrir
Roman Edité chez Acte Sud en février 2009
174 pages
Résumé
Un homme ordinaire reçoit de nombreux appels destinés à une célébrité et se prend au jeu; un acteur de cinéma ne reçoit plus d'appels et commence à douter de sa carrière; un richissime écrivain de livres de sagesse renie tout ce qu'il a professé jusqu'alors; une femme décide de mourir, et se révolte contre l'écrivain qui l'a inventée; un écrivain de romans policiers se perd en Asie centrale où son portable ne fonctionne plus; un cadre supérieur gagne, grâce à son portable, le pouvoir de ne plus se trouver là où on l'imagine; et l'acteur du début, cherchant enfin l'anonymat, compte se servir de son double... Dans le rythme vif et musical qu'on lui connaît, Daniel Kehlmann compose dans son nouveau roman une mosaïque joyeuse et ironique à partir de notre société où les moyens de communication mettent en question le lieu même du réel - pendant que la course à la renommée fait tourner la tête à plus d'un. Daniel Kehlmann n'a pas fini d'étonner ses lecteurs et se joue allégrement de sa propre gloire. Un vrai régal littéraire - et divertissement garanti.
Mon ressenti
Neuf histoires qui sont reliées autour du thème de l’identité et de sa fragilité. Qu’est-ce que notre identité ? Encore plus complexe, lorsqu’il s’agit d’acteur, de chanteur ou tout simplement d’écrivain. Qui se cache derrière le nom, derrière le rôle, la chanson ou la plume ?
Entre l’image et la réalité, entre ce qu’il donne et ce que l’on prend, entre ce qu’il pense donner et ce que l’on interprète, l’identité se meut, grandit, change, évolue, se perd. Au travers les méandres de la communication via la technologie (qui n’a plus de secret pour nous), Daniel montre combien il est facile de se tromper, de se perdre au royaume des identités mirages. C’est avec brio qu’il nous amène tout simplement sur les versant de la manipulation en tout genre.
Neuf histoires comme des poupées russes, qui se lisent rapidement pour rappeler simplement, que quelle que soit la gloire, cette dernière ne fait en rien notre identité.
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