Titre : Et si l'aube nous appartenait
Editeur : Publishroom - Nombre de pages : 202 pages.
Présentation de l'éditeur :
Alexandrine a 40 ans, elle mène une vie routinière rythmée par son travail et les rencontres avec ses amis Franck et Clarisse. Ne s’autorisant plus à tomber amoureuse, elle sera cependant prise de court par une passion aussi intense qu’éphémère après avoir été prise en otage lors du braquage d’une bijouterie.
Mon avis :
Et si l'aube nous appartenait, ou l'intrusion de l'imprévu dans une vie ordinaire.
Ce livre comporte six parties, cinq pour les jours de la semaine, et un préambule qui correspond au week-end précédent. Celui-ci nous présente les trois personnages principaux, Alexandrine, Clarisse et Franck, leur passé, la manière dont ils se sont rencontrés. Bien qu'ils soient quadragénaires (le fils d'Alexandrine n'a-t-il pas emménagé avec sa compagne ?), ils m'ont semblé se comporter comme de tout jeunes adultes, qui se pomponnent, sortent jusqu'au bout de la nuit, enchaînent les flirts sans lendemain et n'ont aucune responsabilité. Ils maîtrisent les technologies modernes, et usent de langage familier, voir cru, et pas seulement lors des dialogues.
La vie d'Alexandrine, la narratrice, bascule quand elle se retrouve prise en otage, enlevée, dirai-je même, par trois braqueurs. Et la suite ne se déroule pas vraiment comme le lecteur pouvait s'y attendre.
Vous l'aurez compris, j'ai très modérément apprécié ce roman. Je ne me suis attachée à aucun personnage. J'ai eu beaucoup de mal avec le récit de la passion d'Alexandrine pour son kidnappeur, passion vraiment soudaine et trop rapide pour qu'elle puisse être qualifiée de syndrome de Stockholm. Je n'ai pas aimé lire le récit de leurs ébats - cette passion est vraiment toute charnelle, pour ma part, il n'est pas question d'amour ici, quoi qu'en dise la narratrice. J'ai trouvé ce récit trop cru, trop répétitif, je n'ai pas aimé me retrouver dans cette position de "voyeuse" malgré moi, face à deux personnages trop parfaits, trop stéréotypés, et pas assez prudents.
Il en est de même pour les rôles secondaires, qui sont restés pour moi très vagues, presque comme des ombres. Et si l'aube nous appartenait, un roman qui n'était pas fait pour moi mais qui devrait plaire à d'autres lecteurs.
Editeur : Publishroom - Nombre de pages : 202 pages.
Présentation de l'éditeur :
Alexandrine a 40 ans, elle mène une vie routinière rythmée par son travail et les rencontres avec ses amis Franck et Clarisse. Ne s’autorisant plus à tomber amoureuse, elle sera cependant prise de court par une passion aussi intense qu’éphémère après avoir été prise en otage lors du braquage d’une bijouterie.
Mon avis :
Et si l'aube nous appartenait, ou l'intrusion de l'imprévu dans une vie ordinaire.
Ce livre comporte six parties, cinq pour les jours de la semaine, et un préambule qui correspond au week-end précédent. Celui-ci nous présente les trois personnages principaux, Alexandrine, Clarisse et Franck, leur passé, la manière dont ils se sont rencontrés. Bien qu'ils soient quadragénaires (le fils d'Alexandrine n'a-t-il pas emménagé avec sa compagne ?), ils m'ont semblé se comporter comme de tout jeunes adultes, qui se pomponnent, sortent jusqu'au bout de la nuit, enchaînent les flirts sans lendemain et n'ont aucune responsabilité. Ils maîtrisent les technologies modernes, et usent de langage familier, voir cru, et pas seulement lors des dialogues.
La vie d'Alexandrine, la narratrice, bascule quand elle se retrouve prise en otage, enlevée, dirai-je même, par trois braqueurs. Et la suite ne se déroule pas vraiment comme le lecteur pouvait s'y attendre.
Vous l'aurez compris, j'ai très modérément apprécié ce roman. Je ne me suis attachée à aucun personnage. J'ai eu beaucoup de mal avec le récit de la passion d'Alexandrine pour son kidnappeur, passion vraiment soudaine et trop rapide pour qu'elle puisse être qualifiée de syndrome de Stockholm. Je n'ai pas aimé lire le récit de leurs ébats - cette passion est vraiment toute charnelle, pour ma part, il n'est pas question d'amour ici, quoi qu'en dise la narratrice. J'ai trouvé ce récit trop cru, trop répétitif, je n'ai pas aimé me retrouver dans cette position de "voyeuse" malgré moi, face à deux personnages trop parfaits, trop stéréotypés, et pas assez prudents.
Il en est de même pour les rôles secondaires, qui sont restés pour moi très vagues, presque comme des ombres. Et si l'aube nous appartenait, un roman qui n'était pas fait pour moi mais qui devrait plaire à d'autres lecteurs.