C'est moi, Mambo, la lama mégalo
Editio Rageot - 160 pages
Présentation de l’éditeur :
Je m’ennuyais à brouter là où on me disait de brouter, alors je suis descendue dans la vallée pour mener à bien mon grand projet secret. Bouchez-vous les oreilles, merci. Je vais conquérir le monde, chasser le chef des humains et mettre sur pattes… LamaLand, mon royaume paradisiaque ! Les lamas ne seront plus obligés d’écouter leurs parents, ni de se brosser la laine, ni de prendre des bains avant de se coucher. Plus tout un tas d’avantages tels que : carottes glacées à tous les repas, massages des pattes quotidiens et grattouilles dans le dos à volonté !
Mon avis :
Comment qualifier ce livre ? Ah oui, j’ai une idée : autobiographie d’une lama, et pas n’importe laquelle. Mambo est une lama pleine d’ambition, qui nous raconte son histoire, celle d’une lama qui veut conquérir le monde. Attention, contrairement à beaucoup de personnes, en règle générale des « méchants », elle ne souhaite pas conquérir le monde pour le détruire, ainsi que ceux qui y vivent, elle désire simplement chasser les humains et créer son royaume (accessoirement, le royaume des lamas aussi) en prenant soin d’éjecter ses affreuses et fourbes bestioles que sont les écureuils. Oui, les écureuils, c’est le mal !
Mambo est une héroïne rare, parce qu’elle ne perd jamais confiance en elle, quoi qu’il lui arrive, et elle ne perd pas non plus une once de ce que l’on peut qualifier de « mégalomanie ». Oui, elle s’aime, elle s’admire et, franchement, elle a bien raison. Priver les autres de ma présence lumineuse est un supplice. Je le comprends, personnellement j’aurais horreur d’être privée de moi !
Elle doit pourtant avoir quelque chose, Mambo, parce que les autres l’aiment bien, même si, au cours de ses aventures, elle est forcée d’admettre, et bien, que tous les animaux ou presque se pensent les rois du monde ! Ils n’en sont pas moins solidaires quand elle a quelques ennuis. Elle parvient à comprendre, tout de même, qu’elle a manqué de lucidité concernant certaines situations, notamment celles qui concernent le charmant bambin en couverture (et tant pis s’il la prend pour un poney nommé Kiwi). Les illustrations sont elles aussi très réussis et donnent un autre éclairage au texte et aux ambitions de Mambo.
Editio Rageot - 160 pages
Présentation de l’éditeur :
Je m’ennuyais à brouter là où on me disait de brouter, alors je suis descendue dans la vallée pour mener à bien mon grand projet secret. Bouchez-vous les oreilles, merci. Je vais conquérir le monde, chasser le chef des humains et mettre sur pattes… LamaLand, mon royaume paradisiaque ! Les lamas ne seront plus obligés d’écouter leurs parents, ni de se brosser la laine, ni de prendre des bains avant de se coucher. Plus tout un tas d’avantages tels que : carottes glacées à tous les repas, massages des pattes quotidiens et grattouilles dans le dos à volonté !
Mon avis :
Comment qualifier ce livre ? Ah oui, j’ai une idée : autobiographie d’une lama, et pas n’importe laquelle. Mambo est une lama pleine d’ambition, qui nous raconte son histoire, celle d’une lama qui veut conquérir le monde. Attention, contrairement à beaucoup de personnes, en règle générale des « méchants », elle ne souhaite pas conquérir le monde pour le détruire, ainsi que ceux qui y vivent, elle désire simplement chasser les humains et créer son royaume (accessoirement, le royaume des lamas aussi) en prenant soin d’éjecter ses affreuses et fourbes bestioles que sont les écureuils. Oui, les écureuils, c’est le mal !
Mambo est une héroïne rare, parce qu’elle ne perd jamais confiance en elle, quoi qu’il lui arrive, et elle ne perd pas non plus une once de ce que l’on peut qualifier de « mégalomanie ». Oui, elle s’aime, elle s’admire et, franchement, elle a bien raison. Priver les autres de ma présence lumineuse est un supplice. Je le comprends, personnellement j’aurais horreur d’être privée de moi !
Elle doit pourtant avoir quelque chose, Mambo, parce que les autres l’aiment bien, même si, au cours de ses aventures, elle est forcée d’admettre, et bien, que tous les animaux ou presque se pensent les rois du monde ! Ils n’en sont pas moins solidaires quand elle a quelques ennuis. Elle parvient à comprendre, tout de même, qu’elle a manqué de lucidité concernant certaines situations, notamment celles qui concernent le charmant bambin en couverture (et tant pis s’il la prend pour un poney nommé Kiwi). Les illustrations sont elles aussi très réussis et donnent un autre éclairage au texte et aux ambitions de Mambo.