L’enfant céleste
Maud Simonnot
Aux éditions de L’ Observatoire, 176 pages
Sans plus d’explications, Mary a été abandonnée par Pierre son compagnon. Elle vit des moments douloureux. Son rayon de soleil, c’est Celian son fils de 10 ans, un doux rêveur, enfant précoce qui a du mal à dompter le temps et pour qui l’école est un véritable calvaire. Tout comme sa mère au même âge, il est passionné par l’astronomie et tous deux s’intéressent à la vie de Tycho Brahe, illustre astronome Danois du XVIème siècle ayant construit le premier observatoire sur l’île de Ven au large de la Suède. Pour apaiser Celian, Mary décide d’emmener son fils en vacances sur cette île, hors du temps, à la nature préservée, sur les traces de Brahe… C’est dans cette bulle, entre quête et rêverie contemplative, que la mère et le fils, les deux voix de ce trop court roman, vont trouver un second souffle.
Présentation éditeur
Sensible, rêveur, Célian ne s’épanouit pas à l’école. Sa mère Mary, à la suite d’une rupture amoureuse, décide de partir avec lui dans une île légendaire de la mer Baltique. C’est là en effet qu’à la Renaissance, Tycho Brahe – astronome dont l’étrange destinée aurait inspiré Hamlet – imagina un observatoire prodigieux depuis lequel il redessina entièrement la carte du Ciel.
En parcourant les forêts et les rivages de cette île préservée où seuls le soleil et la lune semblent diviser le temps, Mary et Célian découvrent un monde sauvage au contact duquel s’effacent peu à peu leurs blessures.
Porté par une écriture délicate, sensuelle, ce premier roman est une ode à la beauté du cosmos et de la nature. L’Enfant céleste évoque aussi la tendresse inconditionnelle d’une mère pour son fils, personnage d’une grande pureté qui donne toute sa lumière au roman.
Maud Simonnot a passé sa jeunesse dans le Morvan et plusieurs années en Norvège qui l’ont inspirée pour ce livre. Sa biographie de Robert McAlmon, La Nuit pour adresse (Gallimard 2017) à reçu le prix Larbaud et a été finaliste du Prix Medecis essai.
Maud Simonnot
Aux éditions de L’ Observatoire, 176 pages
Sans plus d’explications, Mary a été abandonnée par Pierre son compagnon. Elle vit des moments douloureux. Son rayon de soleil, c’est Celian son fils de 10 ans, un doux rêveur, enfant précoce qui a du mal à dompter le temps et pour qui l’école est un véritable calvaire. Tout comme sa mère au même âge, il est passionné par l’astronomie et tous deux s’intéressent à la vie de Tycho Brahe, illustre astronome Danois du XVIème siècle ayant construit le premier observatoire sur l’île de Ven au large de la Suède. Pour apaiser Celian, Mary décide d’emmener son fils en vacances sur cette île, hors du temps, à la nature préservée, sur les traces de Brahe… C’est dans cette bulle, entre quête et rêverie contemplative, que la mère et le fils, les deux voix de ce trop court roman, vont trouver un second souffle.
Présentation éditeur
Sensible, rêveur, Célian ne s’épanouit pas à l’école. Sa mère Mary, à la suite d’une rupture amoureuse, décide de partir avec lui dans une île légendaire de la mer Baltique. C’est là en effet qu’à la Renaissance, Tycho Brahe – astronome dont l’étrange destinée aurait inspiré Hamlet – imagina un observatoire prodigieux depuis lequel il redessina entièrement la carte du Ciel.
En parcourant les forêts et les rivages de cette île préservée où seuls le soleil et la lune semblent diviser le temps, Mary et Célian découvrent un monde sauvage au contact duquel s’effacent peu à peu leurs blessures.
Porté par une écriture délicate, sensuelle, ce premier roman est une ode à la beauté du cosmos et de la nature. L’Enfant céleste évoque aussi la tendresse inconditionnelle d’une mère pour son fils, personnage d’une grande pureté qui donne toute sa lumière au roman.
Maud Simonnot a passé sa jeunesse dans le Morvan et plusieurs années en Norvège qui l’ont inspirée pour ce livre. Sa biographie de Robert McAlmon, La Nuit pour adresse (Gallimard 2017) à reçu le prix Larbaud et a été finaliste du Prix Medecis essai.