ANNE (t.1)LA MAISON AUX PIGNONS VERTS
Roman ré-édité chez Louverture en octobre 1920, 1ère édition en 1908
384 pages
Résumé
Cheveux désespérément roux, visage constellé de taches de rousseur, Anne Shirley est une petite fille curieuse, pleine d'énergie, souvent perdue dans ses pensées, parfois d'une gravité solennelle, sans aucun doute intemporelle. Difficile de résister à ce petit bout d'humanité de onze ans parfaitement imparfait, héroïne d'une série de romans qui a su conquérir des millions de lecteurs à travers le monde, Anne de Green Gables, écrit par Lucy Maud Montgomery, et dont le premier tome parut en 1908. Orpheline à l'esprit vif, à l'imagination sans bornes et qui adore employer de « grands mots », Anne se retrouve par erreur chez Marilla et Matthew Cuthbert qui attendaient un garçon pour les aider à la ferme. Féministe involontaire, romantique impénitente, elle est impulsive, dramatique, maline, drôle, et telle une authentique naïve, elle va bousculer le calme et la monotonie de la vie à Green Gables, en semant partout joies et rêveries, en dénichant la beauté dans les moindres recoins, en ne s'exprimant qu'en points d'exclamation, même dans « les affres du désespoir ». Parce que l'existence d'Anne a aussi une face sombre, hantée par la mort de ses parents et les abandons, qui lui donne son énergie folle, parfois hallucinée, et qui rend son idéalisme et son indignation si poignants et si convaincants. Si le regard d'Anne transcende le monde sur lequel il se pose, Anne de Green Gables, c'est la transformation magique, presque mystique, que seul l'amour peut opérer sur les hommes et les femmes. C'est l'histoire d'une petite fille qui parvient à se faire aimer de tous (Josie Pye exceptée), et de nous les premiers.
Mon ressenti
C’est une autrice que j’ai découvert grâce aux 7 sœurs, saga de Lucinda Riley dans le tome 3. C’est une belle rencontre.
J’ai été d’entrée happée par le style de l’écriture très rythmée, vive. L’autrice donne aux personnages une profondeur qui permettent au lecteur de s’identifier facilement ou de se dire « mais oui, c’est exactement ça ou je connais cette femme ou cet homme, il me rappelle… ».
Les situations amenées et portées par l’histoire sont chargées d’ondes positives, de bienveillance et distillent joie et bonheur.
Anne la petite fille est spontanée dans sa lecture du monde et ses attentes de la vie. De par ses remarques, ses réflexions, elle invite les adultes à poser un autre regard sur ce qui les entoure et à apporter un changement dans leur conception de la vie en général.
Certaines situations proposées par l’autrice n’ont plus courts aujourd’hui, c’est sûr ! Pour autant, l’humanité qui se dégage des personnages nous renvoie à la nôtre : ce que nous en faisons, ce que nous faisons vis-à-vis des autres...
Une histoire remplie de joie qui propose un hymne à la vie tout simplement et propose d’aller à la rencontre de l’autre.
A découvrir
Roman ré-édité chez Louverture en octobre 1920, 1ère édition en 1908
384 pages
Résumé
Cheveux désespérément roux, visage constellé de taches de rousseur, Anne Shirley est une petite fille curieuse, pleine d'énergie, souvent perdue dans ses pensées, parfois d'une gravité solennelle, sans aucun doute intemporelle. Difficile de résister à ce petit bout d'humanité de onze ans parfaitement imparfait, héroïne d'une série de romans qui a su conquérir des millions de lecteurs à travers le monde, Anne de Green Gables, écrit par Lucy Maud Montgomery, et dont le premier tome parut en 1908. Orpheline à l'esprit vif, à l'imagination sans bornes et qui adore employer de « grands mots », Anne se retrouve par erreur chez Marilla et Matthew Cuthbert qui attendaient un garçon pour les aider à la ferme. Féministe involontaire, romantique impénitente, elle est impulsive, dramatique, maline, drôle, et telle une authentique naïve, elle va bousculer le calme et la monotonie de la vie à Green Gables, en semant partout joies et rêveries, en dénichant la beauté dans les moindres recoins, en ne s'exprimant qu'en points d'exclamation, même dans « les affres du désespoir ». Parce que l'existence d'Anne a aussi une face sombre, hantée par la mort de ses parents et les abandons, qui lui donne son énergie folle, parfois hallucinée, et qui rend son idéalisme et son indignation si poignants et si convaincants. Si le regard d'Anne transcende le monde sur lequel il se pose, Anne de Green Gables, c'est la transformation magique, presque mystique, que seul l'amour peut opérer sur les hommes et les femmes. C'est l'histoire d'une petite fille qui parvient à se faire aimer de tous (Josie Pye exceptée), et de nous les premiers.
Mon ressenti
C’est une autrice que j’ai découvert grâce aux 7 sœurs, saga de Lucinda Riley dans le tome 3. C’est une belle rencontre.
J’ai été d’entrée happée par le style de l’écriture très rythmée, vive. L’autrice donne aux personnages une profondeur qui permettent au lecteur de s’identifier facilement ou de se dire « mais oui, c’est exactement ça ou je connais cette femme ou cet homme, il me rappelle… ».
Les situations amenées et portées par l’histoire sont chargées d’ondes positives, de bienveillance et distillent joie et bonheur.
Anne la petite fille est spontanée dans sa lecture du monde et ses attentes de la vie. De par ses remarques, ses réflexions, elle invite les adultes à poser un autre regard sur ce qui les entoure et à apporter un changement dans leur conception de la vie en général.
Certaines situations proposées par l’autrice n’ont plus courts aujourd’hui, c’est sûr ! Pour autant, l’humanité qui se dégage des personnages nous renvoie à la nôtre : ce que nous en faisons, ce que nous faisons vis-à-vis des autres...
Une histoire remplie de joie qui propose un hymne à la vie tout simplement et propose d’aller à la rencontre de l’autre.
A découvrir