Doggerland, tome 1 : Faux pas
édition J'ai Lu - 510 pages
Présentation de l’éditeur :
Dans les brumes du Doggerland, ces îles que menace l’océan, personne n’est tout à fait innocent… C’est le lendemain de la grande fête de l’huître à Heimö, l’île principale du Doggerland. L’inspectrice Karen Eiken Hornby se réveille dans une chambre d’hôtel avec une gueule de bois légendaire, et, à son plus grand regret, au côté de son chef, avec qui les relations ne sont pas au beau fixe. Au même moment, une femme est découverte assassinée. Karen est chargée de l’enquête, qui se révèle on ne peut plus délicate quand elle découvre que son chef a été marié à la victime¿ S’il est, à ce titre, le premier suspect, hors de question pour l’inspectrice de révéler, pour l’innocenter, cette nuit passée avec lui. Il lui faudra alors agir vite et avec précaution, au risque de déchirer cette petite communauté en apparence si unie. Le premier tome d’une série policière se déroulant dans l’Atlantide de la mer du Nord. Insulaire et captivant.
Mon avis :
Le livre mesure 510 pages et pourtant, je ne m’en suis pas vraiment aperçue, tant le récit m’a semblé limpide, sans péripéties inutiles. Même les retours dans le passé restent mesurés, et ne parasitent pas l’enquête présente. Il faut dire que l’inspectrice qui semble « au bout de sa vie » est particulièrement attachante, parce que particulièrement humaine, cabossée dans sa vie privée, menant une carrière qui pourrait être meilleure si… eh bien, si elle n’était pas une femme. Pour Karen, l’enquête ne commence pas très bien, puisqu’elle a passé la nuit avec son chef – flûte. La victime n’est autre que l’ex-femme de son chef, qu’elle a vu, le matin même, alors qu’elle rentrait chez elle – être la dernière personne à voir la victime en vie, mis à part le meurtrier, c’est une chose, servir d’alibi à son chef, s’en est une autre.
Il faut dire que l’ambiance, dans les îles du Doggerland, est plus que spéciale. Mais, comme partout, déterrer les secrets du passé est toujours risqué pour celles et ceux qui le font, même quand ceux qui le font sont officiers de police et agissent ainsi dans le cadre de leur enquête.
Un roman qui a été agréable à lire, bien que les thèmes abordés soient très lourds.
édition J'ai Lu - 510 pages
Présentation de l’éditeur :
Dans les brumes du Doggerland, ces îles que menace l’océan, personne n’est tout à fait innocent… C’est le lendemain de la grande fête de l’huître à Heimö, l’île principale du Doggerland. L’inspectrice Karen Eiken Hornby se réveille dans une chambre d’hôtel avec une gueule de bois légendaire, et, à son plus grand regret, au côté de son chef, avec qui les relations ne sont pas au beau fixe. Au même moment, une femme est découverte assassinée. Karen est chargée de l’enquête, qui se révèle on ne peut plus délicate quand elle découvre que son chef a été marié à la victime¿ S’il est, à ce titre, le premier suspect, hors de question pour l’inspectrice de révéler, pour l’innocenter, cette nuit passée avec lui. Il lui faudra alors agir vite et avec précaution, au risque de déchirer cette petite communauté en apparence si unie. Le premier tome d’une série policière se déroulant dans l’Atlantide de la mer du Nord. Insulaire et captivant.
Mon avis :
Le livre mesure 510 pages et pourtant, je ne m’en suis pas vraiment aperçue, tant le récit m’a semblé limpide, sans péripéties inutiles. Même les retours dans le passé restent mesurés, et ne parasitent pas l’enquête présente. Il faut dire que l’inspectrice qui semble « au bout de sa vie » est particulièrement attachante, parce que particulièrement humaine, cabossée dans sa vie privée, menant une carrière qui pourrait être meilleure si… eh bien, si elle n’était pas une femme. Pour Karen, l’enquête ne commence pas très bien, puisqu’elle a passé la nuit avec son chef – flûte. La victime n’est autre que l’ex-femme de son chef, qu’elle a vu, le matin même, alors qu’elle rentrait chez elle – être la dernière personne à voir la victime en vie, mis à part le meurtrier, c’est une chose, servir d’alibi à son chef, s’en est une autre.
Il faut dire que l’ambiance, dans les îles du Doggerland, est plus que spéciale. Mais, comme partout, déterrer les secrets du passé est toujours risqué pour celles et ceux qui le font, même quand ceux qui le font sont officiers de police et agissent ainsi dans le cadre de leur enquête.
Un roman qui a été agréable à lire, bien que les thèmes abordés soient très lourds.