Le poison du mensonge
Auteur: Patricia Rosemoor
Edition: Harlequin/Black Rose
Pages: 230
Amour/Policier
Quatrième de couverture
« Teague Slaughter a-t-il assassiné l'actrice Marguerite Lemond ? Telle est la question qui obsède Rae Magill depuis que la star de la série " Rivaux " s'est écroulée lors d'une répétition, empoisonnée.
En effet, Rae n'a-t-elle pas récemment surpris une violente dispute entre la comédienne et son producteur, au cours de laquelle Teague a menacé Marguerite de " tuer son personnage " ? Mais, malgré ses terribles soupçons, Rae comprend qu'elle va devoir s'allier à cet homme énigmatique et impulsif. Car, alors qu'elle est soupçonnée à son tour par la police, Teague est le seul à lui proposer de mener une enquête parallèle, afin de prouver leur innocence à tous deux... »
Mon avis
Le décor est planté, ça sera un plateau de tournage, chose que j’ai bien aimé je dois dire, vu que apprécie beaucoup cet univers. Nous avons donc une actrice retrouvée empoisonnée, et la police a ses suspects, ce sont nos deux héros. Sont ils innocent ? Si oui, arriveront ils à le prouver ? Et comment ? Ils décident donc de mener une enquête parallèle à celle de la policier, qui elle les accuse. Vont ils arriver à prouver le contraire, si tel est le cas ?
L’histoire mélange toujours policier et amour, ce sont les marques de fabrique de la série Black Rose. Mais cette fois ci, j’ai trouvé que le livre traitait plus de l’enquête que de la relation entre Teague er Rae. Chose que j’ai assez apprécié. Mais cela ne fait pas tout, j’ai trouvé le livre un peu « fade », il y a bien des rebondissements, mais cela ne m’a pas suffit. Je n’avais pas deviné le (la) meurtrier (ère), mais une fois le livre finit, je me suis dit que c’était assez simple de le (la) trouver, pleins d’indices nous mettaient sur la piste. En parlant de la fin, pour ma part je ne l’ai pas trouvé vraiment « accrochant ».
Pour dire que je ne suis pas convaincu, pourtant le début est bien, le contexte dans lequel se passe l’enquête, le meurtre, est bien également, mais ça ne suffit pas à combler la fin, et le style qui se veut « Huit clos », mais qui ne l’ai pas réellement. Donc .