TOUT EST TOUJOURS POSSIBLE
Éditions : France Loisirs
Pages : 453
ISBN : 2-7441-7371-1
Roman contemporain
Quatrième de couverture
À 18 ans, elle l’a voulu.
À 19 ans, elle l’a eu.
Depuis 34 ans elle l’a.
Épouse irréprochable, il l’appelle sa Joconde, sa diva du quotidien. Et aussi la « plumitive », car il lui arrive de taquiner la muse.
Lui, macho de naissance, comme beaucoup d’hommes de sa génération, applique sans penser à mal la formule : « Je paye, donc tu suis. »
Il apprécie et estime beaucoup sa femme. Elle l’aime contre vents et marées avec obstination, mais lucidité. Pourtant, un matin, « la Joconde » est fatiguée de son quotidien et décide de prendre le large.
Seul et ahuri de l’être, il découvre ce qu’il a perdu. Bien tard, c’est certain. Mais trop tard ? Ça… on ne peut par le savoir car, avec Françoise Dorin, tout est toujours possible !
Mon avis
Agnès et Aline, deux grandes amies, ont dû se plier aux exigences de leurs parents et aller en institution privée pour apprendre à devenir des épouses et des maîtresses de maison exemplaires.
Donc, lisant ceci au début du livre, je ne suis pas surprise du tout de ce que j’y découvre. Mais, ce qui m’a plu, c’est que l’histoire soit racontée par Pierre. Sa vie avec Agnès, son amitié avec François qui a épousé Aline et l’émancipation de ces dames que ces messieurs ne comprennent pas.
Ces petites dames parfaites ont eu la vie qu’elles se sont créées et leurs maris ont tout simplement suivi. Monsieur a tort et madame a raison ne tient plus pour moi. La réflexion que je peux tirer de ce livre est que tout n’est pas noir ni blanc. Il faut savoir nuancer.
Je ne peux dire que j’ai adoré mais l’auteure a su en mettre juste assez pour que je veuille lire la suite de ce livre. Alors, je pourrai donner une appréciation plus juste quand j’aurai lu « Et après ».
Pour celui-ci, c’est
Éditions : France Loisirs
Pages : 453
ISBN : 2-7441-7371-1
Roman contemporain
Quatrième de couverture
À 18 ans, elle l’a voulu.
À 19 ans, elle l’a eu.
Depuis 34 ans elle l’a.
Épouse irréprochable, il l’appelle sa Joconde, sa diva du quotidien. Et aussi la « plumitive », car il lui arrive de taquiner la muse.
Lui, macho de naissance, comme beaucoup d’hommes de sa génération, applique sans penser à mal la formule : « Je paye, donc tu suis. »
Il apprécie et estime beaucoup sa femme. Elle l’aime contre vents et marées avec obstination, mais lucidité. Pourtant, un matin, « la Joconde » est fatiguée de son quotidien et décide de prendre le large.
Seul et ahuri de l’être, il découvre ce qu’il a perdu. Bien tard, c’est certain. Mais trop tard ? Ça… on ne peut par le savoir car, avec Françoise Dorin, tout est toujours possible !
Mon avis
Agnès et Aline, deux grandes amies, ont dû se plier aux exigences de leurs parents et aller en institution privée pour apprendre à devenir des épouses et des maîtresses de maison exemplaires.
Donc, lisant ceci au début du livre, je ne suis pas surprise du tout de ce que j’y découvre. Mais, ce qui m’a plu, c’est que l’histoire soit racontée par Pierre. Sa vie avec Agnès, son amitié avec François qui a épousé Aline et l’émancipation de ces dames que ces messieurs ne comprennent pas.
Ces petites dames parfaites ont eu la vie qu’elles se sont créées et leurs maris ont tout simplement suivi. Monsieur a tort et madame a raison ne tient plus pour moi. La réflexion que je peux tirer de ce livre est que tout n’est pas noir ni blanc. Il faut savoir nuancer.
Je ne peux dire que j’ai adoré mais l’auteure a su en mettre juste assez pour que je veuille lire la suite de ce livre. Alors, je pourrai donner une appréciation plus juste quand j’aurai lu « Et après ».
Pour celui-ci, c’est