Féroces
Robert GOOLRICK
Quatrième de couverture :
Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler.
C’étaient les années 1950, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l’esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c’était la seule chose qu’ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d’ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l’extérieur de ce qui se passe à la maison. A la maison, il y avait des secrets… Les Goolrick étaient féroces.
Mon avis :
Lourd, très lourd... violent dans les paroles... crus... torturé... trop d'adjectifs me viennent en tête pour décrire ce livre que je n'ai pas du tout aimé ! Le récit est, je trouve, violent, l'auteur utilise des mots crus et nous décrit avec beaucoup de détails des horreurs !
Si j'ai bien compris c'est un livre autobiographique, mais je n'ai pas compris pourquoi, par exemple, l'auteur n'était pas aimé de ses parents... mis à part nous raconter ce qu'il a subit, je trouve que le livre ne va pas assez dans le détail du "pourquoi", et trop, au contraire dans le détail du "comment".
Cette ébauche de détails m'a dérangée et je n'ai pas du tout accriché avec ce livre, même si je l'ai terminé.
Peut être l'aimerez-vous plus que moi !
Robert GOOLRICK
Quatrième de couverture :
Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler.
C’étaient les années 1950, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l’esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c’était la seule chose qu’ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d’ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l’extérieur de ce qui se passe à la maison. A la maison, il y avait des secrets… Les Goolrick étaient féroces.
Mon avis :
Lourd, très lourd... violent dans les paroles... crus... torturé... trop d'adjectifs me viennent en tête pour décrire ce livre que je n'ai pas du tout aimé ! Le récit est, je trouve, violent, l'auteur utilise des mots crus et nous décrit avec beaucoup de détails des horreurs !
Si j'ai bien compris c'est un livre autobiographique, mais je n'ai pas compris pourquoi, par exemple, l'auteur n'était pas aimé de ses parents... mis à part nous raconter ce qu'il a subit, je trouve que le livre ne va pas assez dans le détail du "pourquoi", et trop, au contraire dans le détail du "comment".
Cette ébauche de détails m'a dérangée et je n'ai pas du tout accriché avec ce livre, même si je l'ai terminé.
Peut être l'aimerez-vous plus que moi !