Une semaine de vancances
Quatrième de couverture :
Christine Angot a écrit ce court roman comme on prend une photo, sans respirer, sans prendre le temps de souffler. En cherchant la précision, en captant l'instant et le mouvement.
Ce n'est pas nous lecteurs de vouloir en connaître l'élément déclencheur, peu importe de le savoir. on s'aperçoit vite en le lisant que le texte possède en lui le pouvoir d'agir avec violence. Il suscite des sentiements dont l'angoisse ne peut être évacuée.
Il provoque le saisissement par lequel on reconnaît un des pouvoirs de la littérature : donner aux mots toute leur puissance explication et figurative, plutôt que s'en servir pour recouvrir et voiler.
C'est comme si l'écrivain levait ce voile, non pas pour nous faire peur, mais pour que l'on voie et comprenne.
Mon avis : Volodia
Que penser et sutout quoi dire de ce livre, si la critique est aisée l'art est difficile.
Je ne connaissais le nom de Christine Angot que par les scandales qui s'y attachent. En lisant son livre, je ne suis dit que je me ferais ma propre idée. Pour ce faire, je n'ai lu, auparavant, aucune critique qui s'y rattache.
Choc dès les premières pages. J'ai eu envie de tout abandonné. Ce livre est à mon sens, abject, dans son contenu, son idée, voyeur, ordurier, obscène, cru au-delà de tout ce que l'on peu imaginer. Pervers dans ses descriptions de scènes pseudo érotiques que je qualifie, moi, de pornographiques.
L'histoire se déroule comme l'indique le titre du livre, sur une semaine et met en scène un homme d'un âge que l'on peut penser avancer, que l'auteure s'efforce de nous décrire, élégant, cultivé, faisant des galipettes avec une gamine ayant l'âge de lire des romans d'aventures, mais suffisamment pubère pour le mettre constamment en rut.
Et là, c'est une débauche de scène pornographiques (dont je me refuse d'en faire la moindre citatiion) d'un type qui trouve toutes les justifications possibles imaginables pour assouvir et expliquer sa perversité.
La gamine quant à elle, subit mais semble-t-il avec une certaine complaisance ses assauts. Il y a bien quelques cris, pleurs, sanglots, quelques hocquets, vites réprimés. Elle se soumet à tous ses désirs ne dit rien espérant par delà ces actes qu'il l'aime réellement d'amour.
Leurs sorties se résument à des ballades en voitures pour visiter quelques sites et restaurants indiqués dans un guide touristique et qu'il a pris soin de noter. Mais là encore, ses sorties sont l'occasion pour ce Don Juan de pacotille d'assouvir sa soif inextingible de sexe. Il en ressort que nous avons droit à une description détaillée des menus commandés et quelques leçons de comparaison entre la langue française et la langue allemande qu'il trouve plus précise, ainsi qu'à d'humiliantes leçons de diction qu'il fait à la jeune personne. Sans compter les "gâteries" après repas procurées à couvert des portières de voiture par notre jouvencelle.
Bien qu'ayant eu envie devant tant d'horreurs de refermer ce livre, je m'y suis tenu jusqu'à l'écoeurement, le dégoût transposé du livre à l'auteure et ce jusque la fin. J'ai essayé de comprendre ce que les journalistes et les hautes sphères de la littérature (éditeurs) pouvaient trouver de si "extraordinaire" à la Angot ?
J'ai essayé de lire son livre, non plus en tant que plublic, mais en tant qu'écrivain (oui je sais ce n'était pas gagné) et je dois avouer qu'elle a en quelque sorte atteint son objectif.
Son livre ne laisse pas indifférent. Qu'on le déteste ou qu'on l'aime, Christine Angot a atteint son but, émouvoir tant ses lecteurs que le monde des livres. Par sa plume qui se veut incisive, précise, directe. Par cette histoire, choquante et ses descriptions nauséabondes.
Pour ma part, j'ai trouvé son livre, ennuyeux, plat, l'histoire inintéressante, voire choquante, débauches de scènes pornographiques. On se demande comment une femme peut écrire pareilles horreurs en matière de sexe. Toujours est-il qu'elle n'a plus rien à apprendre et qu'elle pourrait en remontrer à quelques parépapétitcennes. Dans la foulée je m'étais procuré un autre livre de cette auteure, mais je ne suis pas sur d'avoir le courage de le lire, le présent livre m'ayant laissé un goût saumâtre dans la bouche.
(heureusement que je n'ai investi que dans le poche).
Quatrième de couverture :
Christine Angot a écrit ce court roman comme on prend une photo, sans respirer, sans prendre le temps de souffler. En cherchant la précision, en captant l'instant et le mouvement.
Ce n'est pas nous lecteurs de vouloir en connaître l'élément déclencheur, peu importe de le savoir. on s'aperçoit vite en le lisant que le texte possède en lui le pouvoir d'agir avec violence. Il suscite des sentiements dont l'angoisse ne peut être évacuée.
Il provoque le saisissement par lequel on reconnaît un des pouvoirs de la littérature : donner aux mots toute leur puissance explication et figurative, plutôt que s'en servir pour recouvrir et voiler.
C'est comme si l'écrivain levait ce voile, non pas pour nous faire peur, mais pour que l'on voie et comprenne.
Mon avis : Volodia
Que penser et sutout quoi dire de ce livre, si la critique est aisée l'art est difficile.
Je ne connaissais le nom de Christine Angot que par les scandales qui s'y attachent. En lisant son livre, je ne suis dit que je me ferais ma propre idée. Pour ce faire, je n'ai lu, auparavant, aucune critique qui s'y rattache.
Choc dès les premières pages. J'ai eu envie de tout abandonné. Ce livre est à mon sens, abject, dans son contenu, son idée, voyeur, ordurier, obscène, cru au-delà de tout ce que l'on peu imaginer. Pervers dans ses descriptions de scènes pseudo érotiques que je qualifie, moi, de pornographiques.
L'histoire se déroule comme l'indique le titre du livre, sur une semaine et met en scène un homme d'un âge que l'on peut penser avancer, que l'auteure s'efforce de nous décrire, élégant, cultivé, faisant des galipettes avec une gamine ayant l'âge de lire des romans d'aventures, mais suffisamment pubère pour le mettre constamment en rut.
Et là, c'est une débauche de scène pornographiques (dont je me refuse d'en faire la moindre citatiion) d'un type qui trouve toutes les justifications possibles imaginables pour assouvir et expliquer sa perversité.
La gamine quant à elle, subit mais semble-t-il avec une certaine complaisance ses assauts. Il y a bien quelques cris, pleurs, sanglots, quelques hocquets, vites réprimés. Elle se soumet à tous ses désirs ne dit rien espérant par delà ces actes qu'il l'aime réellement d'amour.
Leurs sorties se résument à des ballades en voitures pour visiter quelques sites et restaurants indiqués dans un guide touristique et qu'il a pris soin de noter. Mais là encore, ses sorties sont l'occasion pour ce Don Juan de pacotille d'assouvir sa soif inextingible de sexe. Il en ressort que nous avons droit à une description détaillée des menus commandés et quelques leçons de comparaison entre la langue française et la langue allemande qu'il trouve plus précise, ainsi qu'à d'humiliantes leçons de diction qu'il fait à la jeune personne. Sans compter les "gâteries" après repas procurées à couvert des portières de voiture par notre jouvencelle.
Bien qu'ayant eu envie devant tant d'horreurs de refermer ce livre, je m'y suis tenu jusqu'à l'écoeurement, le dégoût transposé du livre à l'auteure et ce jusque la fin. J'ai essayé de comprendre ce que les journalistes et les hautes sphères de la littérature (éditeurs) pouvaient trouver de si "extraordinaire" à la Angot ?
J'ai essayé de lire son livre, non plus en tant que plublic, mais en tant qu'écrivain (oui je sais ce n'était pas gagné) et je dois avouer qu'elle a en quelque sorte atteint son objectif.
Son livre ne laisse pas indifférent. Qu'on le déteste ou qu'on l'aime, Christine Angot a atteint son but, émouvoir tant ses lecteurs que le monde des livres. Par sa plume qui se veut incisive, précise, directe. Par cette histoire, choquante et ses descriptions nauséabondes.
Pour ma part, j'ai trouvé son livre, ennuyeux, plat, l'histoire inintéressante, voire choquante, débauches de scènes pornographiques. On se demande comment une femme peut écrire pareilles horreurs en matière de sexe. Toujours est-il qu'elle n'a plus rien à apprendre et qu'elle pourrait en remontrer à quelques parépapétitcennes. Dans la foulée je m'étais procuré un autre livre de cette auteure, mais je ne suis pas sur d'avoir le courage de le lire, le présent livre m'ayant laissé un goût saumâtre dans la bouche.
(heureusement que je n'ai investi que dans le poche).