WIAZEMSKY, Anne
Mon enfant de Berlin
Roman, 248 pages, éditions France Loisirs
Résumé:
En septembre 1944, Claire, ambulancière à la Croix-Rouge française, se trouve à Béziers avec sa section, alors que dans quelques mois elle suivra les armées alliées dans un Berlin en ruine. Elle a vingt-sept ans, c'est une très jolie jeune femme avec de grands yeux sombres et de hautes pommettes slaves. Si on lui en fait compliment, elle feint de l'ignorer. Elle souhaite n'exister que par son travail depuis son entrée à la Croix-Rouge, un an et demi auparavant. Son courage moral et physique, son ardeur font l'admiration de ses chefs. Ses compagnes, parfois issues de milieux sociaux différents du sien, ont oublié qu'elle est la fille d'un écrivain célèbre, François Mauriac, et la considèrent comme l'une d'entre elles, rien de plus. Au volant de son ambulance, quand elle transporte des blessés vers des hôpitaux surchargés, elle se sent vivre pour la première fois de sa jeune vie. Mais à travers la guerre, sans même le savoir, c'est l'amour que Claire cherche. Elle va le trouver à Berlin.
Mon avis: ce roman porte sur la période de l'après guerre et se déroule chez l'ennemi vaincu. On y découvre un pays en ruines, une population vivant dans les pires situations.
Si la période m'intéresse beaucoup et le fait que l'histoire se passe dans l'Allemagne qui doit se relever de plusieurs années de guerre perdue aurait pu être particulièrement prenant, ce livre n'est pas parvenu à suciter en moi une quelconque émotion. Je l'ai trouvé long, sans véritable trame. Il est pour une grande partie constitué d'extraits de journal intime et de lettres à sa famille de la protagoniste Claire Mauriac qui m'est même apparue ennuyeuse, futile. Les récits de missions menées par la Croix Rouge française apportent un peu d'intérêt au récit mais sont loin d'avoir emporté mon adhésion et la lecture de ce roman pourtant assez court a été longue et laborieuse.
Ma note: Je n'ai pas aimé ce roman
Mon enfant de Berlin
Roman, 248 pages, éditions France Loisirs
Résumé:
En septembre 1944, Claire, ambulancière à la Croix-Rouge française, se trouve à Béziers avec sa section, alors que dans quelques mois elle suivra les armées alliées dans un Berlin en ruine. Elle a vingt-sept ans, c'est une très jolie jeune femme avec de grands yeux sombres et de hautes pommettes slaves. Si on lui en fait compliment, elle feint de l'ignorer. Elle souhaite n'exister que par son travail depuis son entrée à la Croix-Rouge, un an et demi auparavant. Son courage moral et physique, son ardeur font l'admiration de ses chefs. Ses compagnes, parfois issues de milieux sociaux différents du sien, ont oublié qu'elle est la fille d'un écrivain célèbre, François Mauriac, et la considèrent comme l'une d'entre elles, rien de plus. Au volant de son ambulance, quand elle transporte des blessés vers des hôpitaux surchargés, elle se sent vivre pour la première fois de sa jeune vie. Mais à travers la guerre, sans même le savoir, c'est l'amour que Claire cherche. Elle va le trouver à Berlin.
Mon avis: ce roman porte sur la période de l'après guerre et se déroule chez l'ennemi vaincu. On y découvre un pays en ruines, une population vivant dans les pires situations.
Si la période m'intéresse beaucoup et le fait que l'histoire se passe dans l'Allemagne qui doit se relever de plusieurs années de guerre perdue aurait pu être particulièrement prenant, ce livre n'est pas parvenu à suciter en moi une quelconque émotion. Je l'ai trouvé long, sans véritable trame. Il est pour une grande partie constitué d'extraits de journal intime et de lettres à sa famille de la protagoniste Claire Mauriac qui m'est même apparue ennuyeuse, futile. Les récits de missions menées par la Croix Rouge française apportent un peu d'intérêt au récit mais sont loin d'avoir emporté mon adhésion et la lecture de ce roman pourtant assez court a été longue et laborieuse.
Ma note: Je n'ai pas aimé ce roman