LE GRAND MEAULNES
Roman réédité au livre de poche en août 2008
350 pages
Résumé
À la fin du XIXe siècle, par un froid dimanche de novembre, un garçon de quinze ans, François Seurel, qui habite auprès de ses parents instituteurs une longue maison rouge - l'école du village -, attend la venue d'Augustin que sa mère a décidé de mettre ici en pension pour qu'il suive le cours supérieur : l'arrivée du grand Meaulnes à Sainte-Agathe va bouleverser l'enfance finissante de François... Lorsqu'en 1913 paraît le roman d'Alain-Fournier, bien des thèmes qu'il met en scène - saltimbanques, fêtes enfantines, domaines mystérieux - appartiennent à la littérature passée, et le lecteur songe à Nerval et à Sylvie. Mais en dépassant le réalisme du XIXe siècle pour s'établir, entre aventure et nostalgie, aux frontières du merveilleux, il ouvre à un monde d'une sensibilité toujours frémissante, et qui n'a pas vieilli.
Mon ressenti
Roman intemporel qui touche tous ceux qui le lisent par les résonances qu’il suscite chez chacun d’entre nous. Le premier grand amour, celui qui parfois se réalise ou celui qui reste de l’ordre du phantasme, continue de vivre à travers nos autres rencontres amoureuses. C’est cet amour qui nous amène à maturé pleinement, à quitter l’adolescence pour rentrer dans l’âge adulte.
L’auteur a su à merveille faire cohabiter cette ambiance particulière et ces fragilités qui nous habitent, entre l’amitié, l’amour, l’aventure, le romantisme et la réalité. Toutes ces questions existentielles nous traversent et font de nous des êtres d’engagement.
Un classique à découvrir ou re-découvrir
Roman réédité au livre de poche en août 2008
350 pages
Résumé
À la fin du XIXe siècle, par un froid dimanche de novembre, un garçon de quinze ans, François Seurel, qui habite auprès de ses parents instituteurs une longue maison rouge - l'école du village -, attend la venue d'Augustin que sa mère a décidé de mettre ici en pension pour qu'il suive le cours supérieur : l'arrivée du grand Meaulnes à Sainte-Agathe va bouleverser l'enfance finissante de François... Lorsqu'en 1913 paraît le roman d'Alain-Fournier, bien des thèmes qu'il met en scène - saltimbanques, fêtes enfantines, domaines mystérieux - appartiennent à la littérature passée, et le lecteur songe à Nerval et à Sylvie. Mais en dépassant le réalisme du XIXe siècle pour s'établir, entre aventure et nostalgie, aux frontières du merveilleux, il ouvre à un monde d'une sensibilité toujours frémissante, et qui n'a pas vieilli.
Mon ressenti
Roman intemporel qui touche tous ceux qui le lisent par les résonances qu’il suscite chez chacun d’entre nous. Le premier grand amour, celui qui parfois se réalise ou celui qui reste de l’ordre du phantasme, continue de vivre à travers nos autres rencontres amoureuses. C’est cet amour qui nous amène à maturé pleinement, à quitter l’adolescence pour rentrer dans l’âge adulte.
L’auteur a su à merveille faire cohabiter cette ambiance particulière et ces fragilités qui nous habitent, entre l’amitié, l’amour, l’aventure, le romantisme et la réalité. Toutes ces questions existentielles nous traversent et font de nous des êtres d’engagement.
Un classique à découvrir ou re-découvrir