RACE DES CONQUERANTS
SF
235 pages édité au fleuve noir en 1972
résumé
Rien de plus banal qu'un mariage chez les Œus (prononcez 0-é-us). On couche ensemble, voilà tout. Et après, quand l'un des deux est las de l'autre ? Elémentaire ; un Œus ne peut aimer qui ne l'aime pas. On s'aimait bien, valané Zora et moi. Malheureusement j'étais trop souvent invisible... et intouchable. C'est gênant. Pourtant elle ne m'a pas abandonné. Elle m'a suivi jusqu'à l'astronef des Galks, et sans elle je n’aurais jamais réussi à truquer leur Grand Ordinateur et à sauver la Terre. Eh oui, la Terre, notre Terre, où nous cohabitons sans le savoir avec les Œus. Essayez donc, un soir, quand tombe le crépuscule. Placez-vous près de la fenêtre, et regardez, presque parallèlement à la vitre. Avec un peu de chance, vous les verrez, les Œus, comme des fantômes. Et si vous reconnaissez Zora, alertez-moi. Je vous en prie. Parce que je ne l'oublierai jamais.
Mon ressenti
Un terrien échange ou partage (selon les conditions) son corps avec l'esprit d'un Galk. Cette race de conquérant s'en prend à une terre qui appartient à un univers parallèle au notre. Mais notre héros prend le parti des Oéus (les humains de cet univers). Histoire qui a du mal a démarré et qui parfois traîne en longueur…
Bref, l’idée est intéressante mais ne parvient pas à décoller plus que cela, dommage ! Cette histoire me rappelle celle « les rois des étoiles » de Hamilton Edmond, plus rythmée et palpitante…
A vous de voir
SF
235 pages édité au fleuve noir en 1972
résumé
Rien de plus banal qu'un mariage chez les Œus (prononcez 0-é-us). On couche ensemble, voilà tout. Et après, quand l'un des deux est las de l'autre ? Elémentaire ; un Œus ne peut aimer qui ne l'aime pas. On s'aimait bien, valané Zora et moi. Malheureusement j'étais trop souvent invisible... et intouchable. C'est gênant. Pourtant elle ne m'a pas abandonné. Elle m'a suivi jusqu'à l'astronef des Galks, et sans elle je n’aurais jamais réussi à truquer leur Grand Ordinateur et à sauver la Terre. Eh oui, la Terre, notre Terre, où nous cohabitons sans le savoir avec les Œus. Essayez donc, un soir, quand tombe le crépuscule. Placez-vous près de la fenêtre, et regardez, presque parallèlement à la vitre. Avec un peu de chance, vous les verrez, les Œus, comme des fantômes. Et si vous reconnaissez Zora, alertez-moi. Je vous en prie. Parce que je ne l'oublierai jamais.
Mon ressenti
Un terrien échange ou partage (selon les conditions) son corps avec l'esprit d'un Galk. Cette race de conquérant s'en prend à une terre qui appartient à un univers parallèle au notre. Mais notre héros prend le parti des Oéus (les humains de cet univers). Histoire qui a du mal a démarré et qui parfois traîne en longueur…
Bref, l’idée est intéressante mais ne parvient pas à décoller plus que cela, dommage ! Cette histoire me rappelle celle « les rois des étoiles » de Hamilton Edmond, plus rythmée et palpitante…
A vous de voir