L'avocat, le nain et la princesse masquée
Edition Pocket - 352 pages.
Présentation de l’éditeur :
Hugues Tonnon est un avocat respecté du Barreau bruxellois, spécialisé dans les divorces, les séparations douloureuses et les couples qui s’entretuent. C’est donc naturellement à lui que s’adresse Nolwenn Blackwell, le flamboyant top model belge qui a jeté son dévolu sur Amaury Lapierre, un capitaine d’entreprise de trente ans son aîné qui lui arrive au menton. Alors qu’un fastueux mariage se profilait, le riche héritier a été paparazzé dans les bras d’une strip-teaseuse, au bord de la piscine d’une villa tropézienne. Hugues Tonnon s’engage à défendre le célèbre mannequin, dîne en sa compagnie et la raccompagne chez elle pour sceller leur accord. Au petit matin, il se réveille chez lui, la police à sa porte. Nolwenn Blackwell a été assassinée, il est le dernier à l’avoir vu vivante et ne se souvient de rien.
Mon avis :
Hugues Tonnon est un excellent avocat. Certes, il n’a pas réussi dans le pénal, mais dans le divorce, et il excelle dans ce domaine. Pour lui, la première cause de divorce, c’est le mariage, aussi ne s’est-il jamais marié – il voit les conséquences chaque jour dans son cabinet – a une compagne et prend le goûter tous les dimanches chez ses parents. Il n’a même pas un poisson rouge, mais une fourmilière dans le jardin. Bref, il est l’image même de la réussite.
Nolwenn Blackwell aussi, dans le domaine du mannequinat. Problème (mince) : elle n’était pas encore mariée quand son fiancé a été surpris en fâcheuse position. Elle entend bien obtenir le maximum (voire beaucoup plus) grâce à Hugues Tonnon, qui, après avoir pesé le pour et le contre, accepte de prendre le dossier en charge : il n’est pas contre les défis ! Problème : il prend une première mauvaise décision. Second problème : Nolwenn Blackwell a été assassinée. Troisième problème (cela commence à faire un peu trop) : Hugues Tonnon connaît bien le policier chargé de l’enquête puisqu’il défendait sa femme lors de leur divorce.
S’ensuivent des péripéties dans la lignée des romans policiers les plus traditionnels, si ce n’est que les protagonistes n’ont rien de traditionnels ! Même si la situation est grave, il y a une certaine légèreté, un humour bienvenu qui nous donne envie de tourner les pages et de découvrir par quels moyens notre avocat charmant et organisé parvient (ou non) à se tirer d’affaires. Le coeur de l’enquête est là, pour Hugues : non trouver qui a tué Nolwenn, mais prouver que ce n’est pas lui qui l’a fait, et retourner ainsi à sa petite vie bien tranquille et bien protégée. Alors oui, Hugues prend des risques, mais uniquement parce que cet avocat n’a pas vraiment confiance en la justice, ou plutôt il ne lui laisse pas le temps d’agir. Pessimiste, Hugues ? Oui, et trop protégé pour pouvoir vivre une cavale, subir une traque incessante. Etre avocat spécialisé dans les divorces ne vous y prépare pas efficacement ! Cependant, sa spécialité et la solidité de son compte en banque lui permettent d’utiliser des moyens que d’autres n’auraient pas eu. Chanceux ? Oui, et jusqu’au bout !
L’avocat, le nain et la princesse masquée est un charmant polar humoristique.
Edition Pocket - 352 pages.
Présentation de l’éditeur :
Hugues Tonnon est un avocat respecté du Barreau bruxellois, spécialisé dans les divorces, les séparations douloureuses et les couples qui s’entretuent. C’est donc naturellement à lui que s’adresse Nolwenn Blackwell, le flamboyant top model belge qui a jeté son dévolu sur Amaury Lapierre, un capitaine d’entreprise de trente ans son aîné qui lui arrive au menton. Alors qu’un fastueux mariage se profilait, le riche héritier a été paparazzé dans les bras d’une strip-teaseuse, au bord de la piscine d’une villa tropézienne. Hugues Tonnon s’engage à défendre le célèbre mannequin, dîne en sa compagnie et la raccompagne chez elle pour sceller leur accord. Au petit matin, il se réveille chez lui, la police à sa porte. Nolwenn Blackwell a été assassinée, il est le dernier à l’avoir vu vivante et ne se souvient de rien.
Mon avis :
Hugues Tonnon est un excellent avocat. Certes, il n’a pas réussi dans le pénal, mais dans le divorce, et il excelle dans ce domaine. Pour lui, la première cause de divorce, c’est le mariage, aussi ne s’est-il jamais marié – il voit les conséquences chaque jour dans son cabinet – a une compagne et prend le goûter tous les dimanches chez ses parents. Il n’a même pas un poisson rouge, mais une fourmilière dans le jardin. Bref, il est l’image même de la réussite.
Nolwenn Blackwell aussi, dans le domaine du mannequinat. Problème (mince) : elle n’était pas encore mariée quand son fiancé a été surpris en fâcheuse position. Elle entend bien obtenir le maximum (voire beaucoup plus) grâce à Hugues Tonnon, qui, après avoir pesé le pour et le contre, accepte de prendre le dossier en charge : il n’est pas contre les défis ! Problème : il prend une première mauvaise décision. Second problème : Nolwenn Blackwell a été assassinée. Troisième problème (cela commence à faire un peu trop) : Hugues Tonnon connaît bien le policier chargé de l’enquête puisqu’il défendait sa femme lors de leur divorce.
S’ensuivent des péripéties dans la lignée des romans policiers les plus traditionnels, si ce n’est que les protagonistes n’ont rien de traditionnels ! Même si la situation est grave, il y a une certaine légèreté, un humour bienvenu qui nous donne envie de tourner les pages et de découvrir par quels moyens notre avocat charmant et organisé parvient (ou non) à se tirer d’affaires. Le coeur de l’enquête est là, pour Hugues : non trouver qui a tué Nolwenn, mais prouver que ce n’est pas lui qui l’a fait, et retourner ainsi à sa petite vie bien tranquille et bien protégée. Alors oui, Hugues prend des risques, mais uniquement parce que cet avocat n’a pas vraiment confiance en la justice, ou plutôt il ne lui laisse pas le temps d’agir. Pessimiste, Hugues ? Oui, et trop protégé pour pouvoir vivre une cavale, subir une traque incessante. Etre avocat spécialisé dans les divorces ne vous y prépare pas efficacement ! Cependant, sa spécialité et la solidité de son compte en banque lui permettent d’utiliser des moyens que d’autres n’auraient pas eu. Chanceux ? Oui, et jusqu’au bout !
L’avocat, le nain et la princesse masquée est un charmant polar humoristique.