Mercredi c'est papi
Illustration Simon Laurent
édition Flammarion Jeunesse – 96 pages
Présentation de l’éditeur :
« Le mercredi après-midi, c’est chez papi et mamie, et c’est un peu l’enfer aussi.
Il n’y a pas Internet, et seulement trois BD un peu moisies.
– Je m’ennuie.
– Mais non mon roudoudou. On ne s’ennuie jamais à ton âge. Va voir papi.
– Non. Papi, il est aux fraises.
– Pas du tout ! Il est aux haricots. Va le voir, ça lui fera plaisir.
Papi est bien aux fraises. Etre aux fraises, c’est perdre la boule, avoir des courants d’air entre les deux oreilles, yoyoter du citron. »
Et pourtant pour Simon, le mercredi avec papi va devenir immanquable !
Mon avis :
C’est un très joli livre que celui-ci, non seulement par le récit qu’il raconte, mais aussi par sa fin, qui laisse à entendre : « maintenant, c’est à toi de raconter des histoires. »
Chez ses grands-parents, qui le gardent tous les mercredis après-midi, Simon s’ennuie, à point qu’il est difficile d’imaginer. Pas d’internet, pas même de télévision. Quant aux bandes dessinées, comment dire ? Simon n’est pas fan de Bécassine. Aller voir son grand-père ? Euuuuuuuuuuuuh. Disons que le grand-père en question perd un peu la tête, il n’a pas tout à fait la vivacité d’esprit de son petit-fils, ni la capacité de jouer avec les mots de la grand-mère – qui, rappelons-le, est aussi sa femme avant d’être une grand-mère ! Simon le dit très bien lui-même :
« C’était quoi papi avant d’être papi ? »
C’est ce que papi va lui raconter. Ou plutôt, chaque mercredi, il lui donnera une nouvelle version de son passé, inventant à chaque fois des aventures rocambolesques pour les oublier aussitôt. Simon ne va plus du tout s’ennuyer avec son grand-père ! Et même…. Mais j’en ai déjà beaucoup dire.
Mercredi c’est papi est une histoire à la fois tendre et drôle, qui n’oublie ni les aléas de la vie, ni que la fin peut aussi être heureuse.
Présentation de l’éditeur :
« Le mercredi après-midi, c’est chez papi et mamie, et c’est un peu l’enfer aussi.
Il n’y a pas Internet, et seulement trois BD un peu moisies.
– Je m’ennuie.
– Mais non mon roudoudou. On ne s’ennuie jamais à ton âge. Va voir papi.
– Non. Papi, il est aux fraises.
– Pas du tout ! Il est aux haricots. Va le voir, ça lui fera plaisir.
Papi est bien aux fraises. Etre aux fraises, c’est perdre la boule, avoir des courants d’air entre les deux oreilles, yoyoter du citron. »
Et pourtant pour Simon, le mercredi avec papi va devenir immanquable !
Mon avis :
C’est un très joli livre que celui-ci, non seulement par le récit qu’il raconte, mais aussi par sa fin, qui laisse à entendre : « maintenant, c’est à toi de raconter des histoires. »
Chez ses grands-parents, qui le gardent tous les mercredis après-midi, Simon s’ennuie, à point qu’il est difficile d’imaginer. Pas d’internet, pas même de télévision. Quant aux bandes dessinées, comment dire ? Simon n’est pas fan de Bécassine. Aller voir son grand-père ? Euuuuuuuuuuuuh. Disons que le grand-père en question perd un peu la tête, il n’a pas tout à fait la vivacité d’esprit de son petit-fils, ni la capacité de jouer avec les mots de la grand-mère – qui, rappelons-le, est aussi sa femme avant d’être une grand-mère ! Simon le dit très bien lui-même :
« C’était quoi papi avant d’être papi ? »
C’est ce que papi va lui raconter. Ou plutôt, chaque mercredi, il lui donnera une nouvelle version de son passé, inventant à chaque fois des aventures rocambolesques pour les oublier aussitôt. Simon ne va plus du tout s’ennuyer avec son grand-père ! Et même…. Mais j’en ai déjà beaucoup dire.
Mercredi c’est papi est une histoire à la fois tendre et drôle, qui n’oublie ni les aléas de la vie, ni que la fin peut aussi être heureuse.