Luc Hardy, détective millionnaire - Tome 1 : les masques écarlates.
éditions Oxymoron – 90 pages
Présentation de l’éditeur :
Lors d’une soirée donnée à l’hôtel Dourski, la fête bat son plein quand un cri terrifiant retentit. La comtesse Dourska est retrouvée en sang, un court poignard planté dans la poitrine. Heureusement, la lame a glissé sur une côte et le diagnostic vital n’est pas engagé.
Interrogée, la victime n’hésite pas une seconde à accuser Mademoiselle d’Ambrecourt, une femme dont son mari s’est épris. Cette dernière nie énergiquement et en appelle à l’honneur du comte Dorski pour l’innocenter. Mais à sa grande stupeur, le comte, après un long silence, confirme les dires de son épouse.
Deux jours plus tard, Luc HARDY, un jeune homme millionnaire féru de justice, devenu détective pour fuir l’ennui, se présente chez le père de la suspecte afin de lui proposer gracieusement son aide pour disculper sa fille.
Mon avis :
J’ai l’impression de ne pas avoir lu de littérature fasciculaire depuis longtemps, et j’ai retrouvé dans ma liseuse ces Masques écarlates.
Nous sommes dans un milieu mondain, aisé. Le comte Dourski et la comtesse Dourska sont ce que l’on nommerait aujourd’hui des jet-setteurs. Ils vont de pays en pays, de réception en réception. Un jour, la comtesse est poignardée, et qui accuse-t-elle ? Une jeune fille bien sous tout rapport, Lucienne d’Ambrecourt. Celle-ci a beau nier, rien à faire : le comte lui-même confirme les faits. C’est la consternation.
Heureusement, il existe des hommes désintéressés. Non, je ne parle pas du comte, qui campe sur ses positions. Je parle du jeune homme qui est amoureux de Lucienne, et que le père de Lucienne ne trouve pas assez bien pour sa fille. Je parle aussi de Luc Hardy. Il aurait pu être un amateur d’art, un mondain, sa fortune le lui permettait. Non, à la place, il enquête gracieusement, dans le but de sauver des personnes qui n’ont pas les moyens de le faire.
Je ne dirai pas que Luc Hardy est un bon détective, je dirai surtout qu’il a beaucoup de chance, et qu’il sait en tirer partie ! S’il n’avait pas cette capacité à « rebondir » – oui, les rebondissements sont nombreux – l’intrigue aurait sans doute connu un tout autre dénouement.
Un récit agréable à lire, qui me donne envie de découvrir d’autres enquêtes de Luc Hardy.
éditions Oxymoron – 90 pages
Présentation de l’éditeur :
Lors d’une soirée donnée à l’hôtel Dourski, la fête bat son plein quand un cri terrifiant retentit. La comtesse Dourska est retrouvée en sang, un court poignard planté dans la poitrine. Heureusement, la lame a glissé sur une côte et le diagnostic vital n’est pas engagé.
Interrogée, la victime n’hésite pas une seconde à accuser Mademoiselle d’Ambrecourt, une femme dont son mari s’est épris. Cette dernière nie énergiquement et en appelle à l’honneur du comte Dorski pour l’innocenter. Mais à sa grande stupeur, le comte, après un long silence, confirme les dires de son épouse.
Deux jours plus tard, Luc HARDY, un jeune homme millionnaire féru de justice, devenu détective pour fuir l’ennui, se présente chez le père de la suspecte afin de lui proposer gracieusement son aide pour disculper sa fille.
Mon avis :
J’ai l’impression de ne pas avoir lu de littérature fasciculaire depuis longtemps, et j’ai retrouvé dans ma liseuse ces Masques écarlates.
Nous sommes dans un milieu mondain, aisé. Le comte Dourski et la comtesse Dourska sont ce que l’on nommerait aujourd’hui des jet-setteurs. Ils vont de pays en pays, de réception en réception. Un jour, la comtesse est poignardée, et qui accuse-t-elle ? Une jeune fille bien sous tout rapport, Lucienne d’Ambrecourt. Celle-ci a beau nier, rien à faire : le comte lui-même confirme les faits. C’est la consternation.
Heureusement, il existe des hommes désintéressés. Non, je ne parle pas du comte, qui campe sur ses positions. Je parle du jeune homme qui est amoureux de Lucienne, et que le père de Lucienne ne trouve pas assez bien pour sa fille. Je parle aussi de Luc Hardy. Il aurait pu être un amateur d’art, un mondain, sa fortune le lui permettait. Non, à la place, il enquête gracieusement, dans le but de sauver des personnes qui n’ont pas les moyens de le faire.
Je ne dirai pas que Luc Hardy est un bon détective, je dirai surtout qu’il a beaucoup de chance, et qu’il sait en tirer partie ! S’il n’avait pas cette capacité à « rebondir » – oui, les rebondissements sont nombreux – l’intrigue aurait sans doute connu un tout autre dénouement.
Un récit agréable à lire, qui me donne envie de découvrir d’autres enquêtes de Luc Hardy.