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CHRISTIE, Agatha
Nina- ML
- Message n°177
Re: CHRISTIE, Agatha
Les Quatre.
éditions Le livre de poche - 188 pages.
Mon avis :
J'ai lu ce livre très rapidement, très facilement, et pourtant, j'ai envie de vous dire : "il faut le lire pour le croire". J'ai vraiment eu du mal à reconnaître les enquêtes d'Hercule Poirot telles que je les connaissais. Oui, Hercule est content du retour de son ami Hastings - presque trop, tant il déborde d'enthousiasme à son encontre. Cela fait dix-huit mois qu'Hastings est mariée avec Cendrillon, l'héroïne du Le crime du golf , dix-huit mois qu'il vit en Amérique du Sud et Poirot s'ennuyait.
L'affaire qui les réunit n'a pourtant rien d'ennuyeux, elle est même rocambolesque ! Un complot menace le monde, un complot fomenté par quatre grands criminels internationaux, l'un chinois, l'autre américain, la troisième française et le dernier... totalement inconnu. Au cours des enquêtes qui leur sont proposées, le signe des quatre (clin d'oeil volontaire à Sir Arthur Conan Doyle ?) est présent, chacune d'entre elles (enlèvement, meurtres, empoisonnement, électrocution) a pour visée d'asseoir leur domination sur le monde, de dissuader Hercule Poirot de continuer à s'opposer à eux (à défaut de pouvoir le pervertir) puis le mettre définitivement hors-jeu. Autant vous dire que ce n'est pas facile, surtout avec un détective aussi intelligent qu'Hercule Poirot, même s'il est secondé par le stupide capitaine Hastings. Ce n'est pas moi qui dis qu'Hercule Poirot est intelligent, il n'est jamais si bien servi que par lui-même. Ce n'est pas moi qui dis qu'Hastings est stupide, ce sont les notes de travail des Quatre - force est de constater qu'ils sont parvenus à dresser un portrait très complet du capitaine. Forces est de constater qu'Hercule effectue lui aussi des recherches pour contrecarrer ses quatre individus et anticiper leurs coups, comme aux échecs. Cette affaire est l'occasion pour le détective de retrouver la comtesse Véra Rossakov, pour lequel il éprouve une grande tendresse et de garder par devers-lui le capitaine Hastings pendant plus de six mois. Madame Hastings comprendra.
Les difficultés vont cependant crescendo pour Hercule Poirot, les victimes s'accumulent et l'affrontement final est prenant. Hercule Poirot ressemble à s'y méprendre à Arsène Lupin (les vols en moins) et à Rouletabille. Il ose, Hercule Poirot, il ose aller très loin pour mener à bien son combat, il est prêt à sacrifier sa vie pour le monde. Hastings aussi, à condition qu'on le demande avant de le mettre devant le fait accompli. Hercule Poirot ira en effet très loin dans le sacrifice, afin d'attendre son but, tout en protégeant le plus possible Hastings "même si sa mort ne serait pas une catastrophe nationale".
Que reste-t-il à Hercule Poirot, après une telle enquête ? Eh bien, à cultiver ses courges, comme il le fait si bien dans Le meurtre de Roger Ackroyd.
éditions Le livre de poche - 188 pages.
Mon avis :
J'ai lu ce livre très rapidement, très facilement, et pourtant, j'ai envie de vous dire : "il faut le lire pour le croire". J'ai vraiment eu du mal à reconnaître les enquêtes d'Hercule Poirot telles que je les connaissais. Oui, Hercule est content du retour de son ami Hastings - presque trop, tant il déborde d'enthousiasme à son encontre. Cela fait dix-huit mois qu'Hastings est mariée avec Cendrillon, l'héroïne du Le crime du golf , dix-huit mois qu'il vit en Amérique du Sud et Poirot s'ennuyait.
L'affaire qui les réunit n'a pourtant rien d'ennuyeux, elle est même rocambolesque ! Un complot menace le monde, un complot fomenté par quatre grands criminels internationaux, l'un chinois, l'autre américain, la troisième française et le dernier... totalement inconnu. Au cours des enquêtes qui leur sont proposées, le signe des quatre (clin d'oeil volontaire à Sir Arthur Conan Doyle ?) est présent, chacune d'entre elles (enlèvement, meurtres, empoisonnement, électrocution) a pour visée d'asseoir leur domination sur le monde, de dissuader Hercule Poirot de continuer à s'opposer à eux (à défaut de pouvoir le pervertir) puis le mettre définitivement hors-jeu. Autant vous dire que ce n'est pas facile, surtout avec un détective aussi intelligent qu'Hercule Poirot, même s'il est secondé par le stupide capitaine Hastings. Ce n'est pas moi qui dis qu'Hercule Poirot est intelligent, il n'est jamais si bien servi que par lui-même. Ce n'est pas moi qui dis qu'Hastings est stupide, ce sont les notes de travail des Quatre - force est de constater qu'ils sont parvenus à dresser un portrait très complet du capitaine. Forces est de constater qu'Hercule effectue lui aussi des recherches pour contrecarrer ses quatre individus et anticiper leurs coups, comme aux échecs. Cette affaire est l'occasion pour le détective de retrouver la comtesse Véra Rossakov, pour lequel il éprouve une grande tendresse et de garder par devers-lui le capitaine Hastings pendant plus de six mois. Madame Hastings comprendra.
Les difficultés vont cependant crescendo pour Hercule Poirot, les victimes s'accumulent et l'affrontement final est prenant. Hercule Poirot ressemble à s'y méprendre à Arsène Lupin (les vols en moins) et à Rouletabille. Il ose, Hercule Poirot, il ose aller très loin pour mener à bien son combat, il est prêt à sacrifier sa vie pour le monde. Hastings aussi, à condition qu'on le demande avant de le mettre devant le fait accompli. Hercule Poirot ira en effet très loin dans le sacrifice, afin d'attendre son but, tout en protégeant le plus possible Hastings "même si sa mort ne serait pas une catastrophe nationale".
Que reste-t-il à Hercule Poirot, après une telle enquête ? Eh bien, à cultiver ses courges, comme il le fait si bien dans Le meurtre de Roger Ackroyd.
Nina- ML
- Message n°178
Re: CHRISTIE, Agatha
édition Le masque - 220 pages.
Mon résumé :
Nous sommes dans le petit village de Sittaford, dans lequel tout le monde se connaît. Le temps est excécrable, une tempête de neige est même annoncée. Alors, que faire pour se distraire, au cours de cette froide soirée d'hiver ? Jouer aux cartes ? Non. Faire tourner les tables est beaucoup plus amusant. Mais quand un esprit annonce à cinq heures vingt-cinq qu'un meurtre vient d'être commis, le doute s'installe. Et si c'était vrai ?
Mon avis :
Je ne connaissais pas du tout ce roman d'Agatha Christie et c'est en farfouillant dans une librairie parisienne, à la recherche de romans avec la couverture de l'édition originale, que j'ai trouvé celui-ci.
Cette enquête ne met en scène ni Hercule Poirot, ni Miss Marple, pourtant, comme à Sainte-Mary Mead, tout le monde se connaît dans ce petit village et surtout, tout le connaît le capitaine Trevelyan. Ses plus grandes qualités sont sa richesse et sa réussite en tout point. Son plus gros défaut est son avarice, surtout envers sa famille, qui pourtant aurait bien besoin de son aide. Aussi, quand il est découvert assassiné, et que son neveu Jim se trouve malheureusement à proximité, ce dernier est le principal suspect, et son arrestation suit.
Fichu, le jeune Jim Pearson ? Non, car une femme apparaît, et quelle femme, Emily Trefusis, sa fiancée. Elle est une jeune femme de caractère, comme on en croise souvent dans les romans d'Agatha Christie, elle est déterminée à prouver l'innocence de son fiancé, et donc à trouver le véritable coupable. Elle n'est pas la seule "forte femme" si j'ose dire dans ce roman, ce sont elles véritablement qui déploient toutes leurs qualités pour parvenir à leur but. Je ne citerai que Miss Percehouse, vieille fille infirme, certes, mais dont la volonté, la force de caractère, et l'acuité d'esprit sont intacts et la font immédiatement apprécier Emily. Jennifer Gardner, soeur du capitaine, madame Willet et sa fille sont aussi des femmes à la personnalité affirmée, qui mettent leur empreinte sur le récit.
Autant dire que les hommes font pâle figure par rapport à elles. Ils ont certes moins de place dans le récit, mais que de défauts sont les leurs ! Faiblesse, envie, jalousie, vanité sont leurs défauts, rares sont ceux qui se montrent à la hauteur, mis à part l'inspecteur Narracott et le journaliste Charles Enderby, qui accomplissent leurs métiers à merveille, et deux autres personnages, dont je ne vous révèlerai pas l'identité : ce serait trop en dire sur l'intrigue.
Quant au dénouement, il est à la fois simple et surprenant, prouvant à nouveau l'art d'écrire d'Agatha Christie.
Nous sommes dans le petit village de Sittaford, dans lequel tout le monde se connaît. Le temps est excécrable, une tempête de neige est même annoncée. Alors, que faire pour se distraire, au cours de cette froide soirée d'hiver ? Jouer aux cartes ? Non. Faire tourner les tables est beaucoup plus amusant. Mais quand un esprit annonce à cinq heures vingt-cinq qu'un meurtre vient d'être commis, le doute s'installe. Et si c'était vrai ?
Mon avis :
Je ne connaissais pas du tout ce roman d'Agatha Christie et c'est en farfouillant dans une librairie parisienne, à la recherche de romans avec la couverture de l'édition originale, que j'ai trouvé celui-ci.
Cette enquête ne met en scène ni Hercule Poirot, ni Miss Marple, pourtant, comme à Sainte-Mary Mead, tout le monde se connaît dans ce petit village et surtout, tout le connaît le capitaine Trevelyan. Ses plus grandes qualités sont sa richesse et sa réussite en tout point. Son plus gros défaut est son avarice, surtout envers sa famille, qui pourtant aurait bien besoin de son aide. Aussi, quand il est découvert assassiné, et que son neveu Jim se trouve malheureusement à proximité, ce dernier est le principal suspect, et son arrestation suit.
Fichu, le jeune Jim Pearson ? Non, car une femme apparaît, et quelle femme, Emily Trefusis, sa fiancée. Elle est une jeune femme de caractère, comme on en croise souvent dans les romans d'Agatha Christie, elle est déterminée à prouver l'innocence de son fiancé, et donc à trouver le véritable coupable. Elle n'est pas la seule "forte femme" si j'ose dire dans ce roman, ce sont elles véritablement qui déploient toutes leurs qualités pour parvenir à leur but. Je ne citerai que Miss Percehouse, vieille fille infirme, certes, mais dont la volonté, la force de caractère, et l'acuité d'esprit sont intacts et la font immédiatement apprécier Emily. Jennifer Gardner, soeur du capitaine, madame Willet et sa fille sont aussi des femmes à la personnalité affirmée, qui mettent leur empreinte sur le récit.
Autant dire que les hommes font pâle figure par rapport à elles. Ils ont certes moins de place dans le récit, mais que de défauts sont les leurs ! Faiblesse, envie, jalousie, vanité sont leurs défauts, rares sont ceux qui se montrent à la hauteur, mis à part l'inspecteur Narracott et le journaliste Charles Enderby, qui accomplissent leurs métiers à merveille, et deux autres personnages, dont je ne vous révèlerai pas l'identité : ce serait trop en dire sur l'intrigue.
Quant au dénouement, il est à la fois simple et surprenant, prouvant à nouveau l'art d'écrire d'Agatha Christie.
Nina- ML
- Message n°180
Re: CHRISTIE, Agatha
Merci de ta visite Pinky.
Cinq heures vingt-cinq est une intrigue très classique, au dénouement si évident que je me suis dit que j'aurai dû le trouver plus tôt.
Cinq heures vingt-cinq est une intrigue très classique, au dénouement si évident que je me suis dit que j'aurai dû le trouver plus tôt.
Keana- ML
- Message n°181
Re: CHRISTIE, Agatha
Un meurtre sera commis le...
Auteur: Agatha Christie
Edition: France Loisirs
Pages: 339
Policier
Quatrième de couverture
« Dans la gazette ce matin là, on pouvait lire qu’un meurtre sera commis. Bien sur tous les habitants sont au rendez vous chez miss Blacklock à l’heure dite, croyant comme c’était indiqué dans l’annonce à une petite invitation. Mais bien plus grave arrive, on tente de tuer la maitresse des lieux, miss Blacklock. Et quand on sait que miss Marple est dans les parages, on se doute que cela ne va pas rester impuni. «
Mon avis
On entre assez vite dans le vif du sujet ; la tentative de meurtre, la mise en scène. Mais avant que vienne miss Marple, c’est un peu plus long. Mais cela ne gâche rien à l’intrigue, bien au contraire on est toujours aussi content de retrouver « notre petite vielle préféré », qui a un sens aiguisé pour résoudre les meurtres, et une très bonne connaissance des habitudes et autres petits tics des gens en général.
Donc il est ici question de tentative de meurtre sur miss Blacklock. Tout laisse présager que le coupable n’est autre que celui qui a fait passer l’annonce, celui qui a tout organisé ; Rudi Scherz. Mais miss Marple et suivront des indices laisseront penser le contraire. Et l’inspecteur Craddock est bien de cet avis.
J’ai beaucoup aimé cette intrigue policière, la façon qu’a Agatha Christie de nous perdre de suspect en suspect. J’avais un(e) coupable mais il s’est révélé que ce n’était pas lui (elle). Tout nous est révélé dans le dernier chapitre, où miss Marple et Craddock nous livre toute leurs suppositions qui se sont révélées vraies. L’histoire est bien ficelée, je ne m’étais pas un seul instant douté que cela pouvait se finir comme ça. Très bon roman, comme nous habitue l’auteure. Donc .
Auteur: Agatha Christie
Edition: France Loisirs
Pages: 339
Policier
Quatrième de couverture
« Dans la gazette ce matin là, on pouvait lire qu’un meurtre sera commis. Bien sur tous les habitants sont au rendez vous chez miss Blacklock à l’heure dite, croyant comme c’était indiqué dans l’annonce à une petite invitation. Mais bien plus grave arrive, on tente de tuer la maitresse des lieux, miss Blacklock. Et quand on sait que miss Marple est dans les parages, on se doute que cela ne va pas rester impuni. «
Mon avis
On entre assez vite dans le vif du sujet ; la tentative de meurtre, la mise en scène. Mais avant que vienne miss Marple, c’est un peu plus long. Mais cela ne gâche rien à l’intrigue, bien au contraire on est toujours aussi content de retrouver « notre petite vielle préféré », qui a un sens aiguisé pour résoudre les meurtres, et une très bonne connaissance des habitudes et autres petits tics des gens en général.
Donc il est ici question de tentative de meurtre sur miss Blacklock. Tout laisse présager que le coupable n’est autre que celui qui a fait passer l’annonce, celui qui a tout organisé ; Rudi Scherz. Mais miss Marple et suivront des indices laisseront penser le contraire. Et l’inspecteur Craddock est bien de cet avis.
J’ai beaucoup aimé cette intrigue policière, la façon qu’a Agatha Christie de nous perdre de suspect en suspect. J’avais un(e) coupable mais il s’est révélé que ce n’était pas lui (elle). Tout nous est révélé dans le dernier chapitre, où miss Marple et Craddock nous livre toute leurs suppositions qui se sont révélées vraies. L’histoire est bien ficelée, je ne m’étais pas un seul instant douté que cela pouvait se finir comme ça. Très bon roman, comme nous habitue l’auteure. Donc .
Nina- ML
- Message n°182
Re: CHRISTIE, Agatha
Merci pour cet avis Keana.
J'ai lu le roman il y a deux/trois ans. Ce n'est pas mon préféré, mais il est tout de même très bien !
J'ai lu le roman il y a deux/trois ans. Ce n'est pas mon préféré, mais il est tout de même très bien !
Majuscule- LH
- Message n°183
Re: CHRISTIE, Agatha
Je l'ai dans ma PAL ! mais là en ce moment, pas envie de lire Agatha !!
Malorie- LEH
- Message n°184
Re: CHRISTIE, Agatha
Le crime de l'Orient-Express d'Agatha Christie
Editions Le livre de poche
Quatrième de couverture :
" Le train est aussi dangereux que le paquebot ", dit Hercule
Poirot... Le lendemain, dans un wagon de l'Orient-Express bloqué par les
neiges yougoslaves, on découvre le cadavre d'un Américain lardé de
douze coups de couteau. L'assassin n'a pu venir de l'extérieur : voici
donc un huis dos, le plus fameux, peut-être, de toute la littérature
policière, où, pour mener son enquête, le petit détective belge a le
choix entre une princesse russe, une Américaine fantasque, le secrétaire
de la victime, un couple de Hongrois distingués, l'inévitable colonel
de retour des Indes, les domestiques de ce beau monde et le contrôleur
du wagon. Un meurtre incompréhensible, à moins qu'on ne puisse établir
que tous ces voyageurs sont moins étrangers les uns aux autres qu'ils ne
veulent bien le prétendre...
Mon avis :
Me voici arrivée au terme de la lecture de mon premier roman policier et, par là donc de la découverte d' Agatha Christie. Et quelle découverte exquise ! Agatha Christie
est sans conteste un grand écrivain anglais ; elle manie les mots avec
intelligence, sensibilité, humour et distinction. Lorsque j'ai ouvert le
livre et que mes yeux ont commencé à glisser sur le papier, j'ai
découvert un récit impressionnant, très bien ficelé et organisé et,
absolument prenant.
L'auteur attache beaucoup Editions Le livre de poche
Quatrième de couverture :
" Le train est aussi dangereux que le paquebot ", dit Hercule
Poirot... Le lendemain, dans un wagon de l'Orient-Express bloqué par les
neiges yougoslaves, on découvre le cadavre d'un Américain lardé de
douze coups de couteau. L'assassin n'a pu venir de l'extérieur : voici
donc un huis dos, le plus fameux, peut-être, de toute la littérature
policière, où, pour mener son enquête, le petit détective belge a le
choix entre une princesse russe, une Américaine fantasque, le secrétaire
de la victime, un couple de Hongrois distingués, l'inévitable colonel
de retour des Indes, les domestiques de ce beau monde et le contrôleur
du wagon. Un meurtre incompréhensible, à moins qu'on ne puisse établir
que tous ces voyageurs sont moins étrangers les uns aux autres qu'ils ne
veulent bien le prétendre...
Mon avis :
Me voici arrivée au terme de la lecture de mon premier roman policier et, par là donc de la découverte d' Agatha Christie. Et quelle découverte exquise ! Agatha Christie
est sans conteste un grand écrivain anglais ; elle manie les mots avec
intelligence, sensibilité, humour et distinction. Lorsque j'ai ouvert le
livre et que mes yeux ont commencé à glisser sur le papier, j'ai
découvert un récit impressionnant, très bien ficelé et organisé et,
absolument prenant.
d'importance à la psychologie des personnages et dresse des portraits
parfaits, réels et intéressants. J'adore le héro, Hercule Poirot, qui
est un personnage plus qu'intelligent, avec un certain humour british
(bien qu'il soit belge) fascinant... un personnage passionnant autant
que l'intrigue, elle-même.
En parlant de l'intrigue, quel génie ! Agatha Christie
m'a franchement bluffée. J'ai beau avoir pris des notes en cours de
lecture, m'arrêter plusieurs fois pour réféchir aux différents indices
récoltés et, essayer de découvrir qui était le coupable, la fin m'a
véritablement époustouflée. Je n'avais pas du tout imaginé cette fin et,
c'est là que l'on reconnaît le talent incontestable de Agatha Christie.
Quelle lecture incroyable, passionnante et intelligente. Impossible de
décrocher mon esprit de l'intrigue, une fois la lecture du livre
commencé. Agatha Christie nous communique, au travers de ce roman, son amour des mots.
C'est évidemment avec un grand plaisir que je vais continuer de lire les oeuvres de la reine du roman policier.
Note :
Nina- ML
- Message n°185
Re: CHRISTIE, Agatha
Merci pour cet avis Malorie.
Le crime de l'Orient-express est un des premiers Agatha Christie que j'ai lu.
Le crime de l'Orient-express est un des premiers Agatha Christie que j'ai lu.
Nina- ML
- Message n°187
Re: CHRISTIE, Agatha
Trois souris.
Edition Le livre de poche - 216 pages.
Mon résumé :
Molly et Gil Davies, mariés depuis un an, viennent d'ouvrir une pension de famille dans l'Angleterre d'après-guerre. Un meurtre sordide a été commis non loin de là, et le criminel rôde.
Mon avis :
Ce roman a été adapté au théâtre par Agatha Chrisite elle-même sous le titre La Souricière. A la lecture, il est facile de comprendre pourquoi cette adaptation était facile. Mis à pmart deux scènes (le premier meurtre et le témoignage au commissariat), presque toute l'histoire se déroule en huis-clos, dans la pension de Monskwell Manor. Celle-ci, à cause de la neige et d'un sabotage judicieux, se trouve rapidement coupée du monde. Les suspects possibles sont donc peu nombreux, et la retraite du meurtrier est provisoirement entravée.
Mais désire-t-il réellement partir ?
L'intrigue prend place dans ce climat si particulier qu'est l'après-guerre en Angleterre. les traumatismes sont là, mais enfouis profondément ou habilement dissimulés. Molly, Gil son mari, le jeune Christopher, un personnage très gay ou encore le meurtrier lui-même ont vécu des événements qui ont modifié en profondeur leur existence. En effet, le meurtrier cherche à se venger de toutes celles qu'il juge responsable de la mort de son jeune frère, envoyé avec ses frères et soeurs à la campagne, comme bon nombre d'enfants citadins pendant les années de guerre, si ce n'est que la famille qui les a recueillis était particulièrement indigne. La ferme où ils logeaient n'était d'ailleurs pas très éloignées de Monskwell Manor, et ce n'est pas un hasard.
Mrs Boyle en revanche, l'une des quatre pensionnaires, a très bien vécu la guerre. Non, elle ne regrette pas la fin du conflit, elle n'irait pas jusque là, elle ne regrette pas les petits pouvoirs qu'elle avait sur ses subordonnées, elle regrette, pardon, elle fulmine de ne pas être traitée avec les égards dus à son rang d'ancienne grande résistante - ou prenant la pause pour passer pour telle. Contrairement aux autres personnages, elle suscite immédiatement l'antipathie, elle dont le jeu favori est de chercher non les sujets de satisfaction mais les sujets de plainte. Les deux derniers pensionnaires ont eu aussi des secrets à cacher, que ce soit le major Metcalf, parfait exemple du militaire de carrière à la retraite, ou l'intriguant et toujours de bons conseils Mr Paravicini, tombé du ciel pendant la nuit, tel un Père Noël qui aurait égaré son traineau.
Pour une fois, il est possible d'identifier le coupable. Je l'ai fait, vingt-cinq pages avant la fin. par contre, je n'avais pas trouvé par quel moyen il a été confondu, Et vous, y parviendrez-vous ?
Molly et Gil Davies, mariés depuis un an, viennent d'ouvrir une pension de famille dans l'Angleterre d'après-guerre. Un meurtre sordide a été commis non loin de là, et le criminel rôde.
Mon avis :
Ce roman a été adapté au théâtre par Agatha Chrisite elle-même sous le titre La Souricière. A la lecture, il est facile de comprendre pourquoi cette adaptation était facile. Mis à pmart deux scènes (le premier meurtre et le témoignage au commissariat), presque toute l'histoire se déroule en huis-clos, dans la pension de Monskwell Manor. Celle-ci, à cause de la neige et d'un sabotage judicieux, se trouve rapidement coupée du monde. Les suspects possibles sont donc peu nombreux, et la retraite du meurtrier est provisoirement entravée.
Mais désire-t-il réellement partir ?
L'intrigue prend place dans ce climat si particulier qu'est l'après-guerre en Angleterre. les traumatismes sont là, mais enfouis profondément ou habilement dissimulés. Molly, Gil son mari, le jeune Christopher, un personnage très gay ou encore le meurtrier lui-même ont vécu des événements qui ont modifié en profondeur leur existence. En effet, le meurtrier cherche à se venger de toutes celles qu'il juge responsable de la mort de son jeune frère, envoyé avec ses frères et soeurs à la campagne, comme bon nombre d'enfants citadins pendant les années de guerre, si ce n'est que la famille qui les a recueillis était particulièrement indigne. La ferme où ils logeaient n'était d'ailleurs pas très éloignées de Monskwell Manor, et ce n'est pas un hasard.
Mrs Boyle en revanche, l'une des quatre pensionnaires, a très bien vécu la guerre. Non, elle ne regrette pas la fin du conflit, elle n'irait pas jusque là, elle ne regrette pas les petits pouvoirs qu'elle avait sur ses subordonnées, elle regrette, pardon, elle fulmine de ne pas être traitée avec les égards dus à son rang d'ancienne grande résistante - ou prenant la pause pour passer pour telle. Contrairement aux autres personnages, elle suscite immédiatement l'antipathie, elle dont le jeu favori est de chercher non les sujets de satisfaction mais les sujets de plainte. Les deux derniers pensionnaires ont eu aussi des secrets à cacher, que ce soit le major Metcalf, parfait exemple du militaire de carrière à la retraite, ou l'intriguant et toujours de bons conseils Mr Paravicini, tombé du ciel pendant la nuit, tel un Père Noël qui aurait égaré son traineau.
Pour une fois, il est possible d'identifier le coupable. Je l'ai fait, vingt-cinq pages avant la fin. par contre, je n'avais pas trouvé par quel moyen il a été confondu, Et vous, y parviendrez-vous ?
Igg- LEH
- Message n°188
Re: CHRISTIE, Agatha
Merci de ces critiques Malorie et Nina.
J'ai lu Un cadavre dans la bibliothèque pendant mes vacances. Bien !
J'ai lu Un cadavre dans la bibliothèque pendant mes vacances. Bien !
Nina- ML
- Message n°189
Re: CHRISTIE, Agatha
Titre : Le crime est notre affaire.
Auteur : Agatha Christie.
Editeur : Librairie des Champs-Elysées.
Nombre de pages : 186 pages.
Mon résumé :
Ces sept nouvelles mettent en scène Tommy et Tuppence Beresford, deux détectives privés et néanmoins agents secrets.
Mon avis :
Je sais : j'aurai dû commencer par le tome 1 (en Angleterre, les deux tomes sont réunis dans un seul volume). J'ai trouvé celui-ci, j'avais besoin d'une lecture-détente cet après-midi, j'ai donc jeté mon dévolu sur ce recueil de nouvelles.
Chaque nouvelle s'inspire d'un roman policier connu et de son enquêteur - à l'époque. Je dois dire qu'à part Sherlock Holmes et Watson, je n'en connaissais aucun, pas plus Roger Sheringham que Dr Fortune et le superintendant Bell.
Tommy et Tuppence parviennent à résoudre les enquêtes les plus diverses, de l'alibi à démonter (un jeu mondain plus qu'une véritable enquête dans L'alibi irréfutable), au gang de trafiquants à démanteler (Les chaussures de l'ambassadeur) - ils aiment beaucoup le mot "gang". Pourtant, ils connaissent un échec dans La maison de la mort, échec qu'ils se reprocheront, bien qu'ils auraient difficilement pu empêcher quoi que ce soit. Cette nouvelle est sans doute la plus macabre, avec son cortège d'empoisonnement, de folie et et de cadavres. Un peu plus, et je me croyais dans un roman noir.
L'humour domine néanmoins, et les connaissances approfondies de Tuppence et Tommy sur des sujets particulièrement sérieux (de l'art de porter un chapeau sans épingle à chapeau, ou de se teindre les cheveux ou encore de conserver les pommes de terre nouvelles) les mettent sur la piste du coupable. J'ajoute que Tommy se trouve (souvent) en difficultés peu avant le dénouement et que quelques scènes d'action particulièrement piquantes pimentent le récit.
Auteur : Agatha Christie.
Editeur : Librairie des Champs-Elysées.
Nombre de pages : 186 pages.
Mon résumé :
Ces sept nouvelles mettent en scène Tommy et Tuppence Beresford, deux détectives privés et néanmoins agents secrets.
Mon avis :
Je sais : j'aurai dû commencer par le tome 1 (en Angleterre, les deux tomes sont réunis dans un seul volume). J'ai trouvé celui-ci, j'avais besoin d'une lecture-détente cet après-midi, j'ai donc jeté mon dévolu sur ce recueil de nouvelles.
Chaque nouvelle s'inspire d'un roman policier connu et de son enquêteur - à l'époque. Je dois dire qu'à part Sherlock Holmes et Watson, je n'en connaissais aucun, pas plus Roger Sheringham que Dr Fortune et le superintendant Bell.
Tommy et Tuppence parviennent à résoudre les enquêtes les plus diverses, de l'alibi à démonter (un jeu mondain plus qu'une véritable enquête dans L'alibi irréfutable), au gang de trafiquants à démanteler (Les chaussures de l'ambassadeur) - ils aiment beaucoup le mot "gang". Pourtant, ils connaissent un échec dans La maison de la mort, échec qu'ils se reprocheront, bien qu'ils auraient difficilement pu empêcher quoi que ce soit. Cette nouvelle est sans doute la plus macabre, avec son cortège d'empoisonnement, de folie et et de cadavres. Un peu plus, et je me croyais dans un roman noir.
L'humour domine néanmoins, et les connaissances approfondies de Tuppence et Tommy sur des sujets particulièrement sérieux (de l'art de porter un chapeau sans épingle à chapeau, ou de se teindre les cheveux ou encore de conserver les pommes de terre nouvelles) les mettent sur la piste du coupable. J'ajoute que Tommy se trouve (souvent) en difficultés peu avant le dénouement et que quelques scènes d'action particulièrement piquantes pimentent le récit.
Keana- ML
- Message n°190
Re: CHRISTIE, Agatha
Si je ne dis pas de bêtises j'ai ce livre dans ma PAL, et je crois - mais je ne suis pas sur - qu'il a été adapté à la télé.
J'ai bien envie de le lire maintenant, surtout si il y a de l'humour. Merci pour cet avis Nina
J'ai bien envie de le lire maintenant, surtout si il y a de l'humour. Merci pour cet avis Nina
Nina- ML
- Message n°191
Re: CHRISTIE, Agatha
Il a bien été adapté -au cinéma avec André Dussolier et Catherine Frot - mais sous ce titre se cache en fait une adaptation du train de 16 h 50.
Keana- ML
- Message n°192
Re: CHRISTIE, Agatha
Ha d'accord, c'est ce qui me semblait qu'il avait été adapté. Par contre je ne savais pas que ce n'était pas adapté du titre du même nom !
Nina- ML
- Message n°193
Re: CHRISTIE, Agatha
Il existe aussi une adaptation anglaise (elle date du début des années 80) des nouvelles qui composent les deux recueils.
Nina- ML
- Message n°195
Re: CHRISTIE, Agatha
Keana a écrit:Dis donc, tu connais bien l'univers d'Agatha Christie !
Merci Keana : pour la série, aucun mérite, je l'ai regardé quand j'étais ado et je me la suis procurée en DVD. Elle est fidèle aux nouvelles.
Nina- ML
- Message n°196
Re: CHRISTIE, Agatha
Titre : Associés contre le crime.
Auteur : Agatha Christie.
Editeur : le livre de poche.
Nombre de pages : 124.
Quatrième de couverture :
Tommy et Tuppence Beresford s'ennuient. Quoi de mieux qu'une agence de détectives pour rompre le train-train de la vie quotidienne ? Et les voila lancés dans quinze aventures exaltantes... mais périlleuses, dont ils sauront se sortir avec humour.
Mon avis :
A force de voir Catherine Frot et André Dussolier incarner les Beresford, le lecteur moyen aurait tendance à oublier qu'ils ont été jeunes et aventureux. Tommy et Tuppence ont trente-deux et vingt-cinq ans, ils sont mariés depuis six ans, et Tuppence s'ennuie auprès de son mari aux cheveux roux (excepté un poil blanc dans les sourcils). Elle a beau passé en revue toutes les distractions possibles - y compris sa collection de chapeau - rien n'y fait. Elle ne rêve que d'une chose :
- Imagine comme ce serait palpitant, poursuivit-elle, d'entendre tout à coup cogner à la porte, d'aller ouvrir et de voir un mort entrer en titubant !
- S'il est mort, il ne peut pas tituber, répliqua Tommy avec un certain esprit critique.
Le chef du département d'état, Mr Carter, leur offre bien mieux : une agence de détective dont le propriétaire est actuellement logé aux frais de la couronne et se montre peu bavard.
Les débuts sont un peu laborieux pour Mr Blunt et Miss Robinson(leur nom d'emprunt) mais grâce à l'ingéniosité de Tuppence, l'agence de détective international, se forge une réputation, qui donne parfois des sueurs froides à Tommy.
Chaque nouvelle s'inspire d'un auteur de romans policiers reconnus : comme dans le second volume, Sherlock Holmes et Watson servent de modèle dans l'affaire de la perle rose, bien que Tommy ne maîtrise pas vraiment leur méthode. J'ai eu aussi le plaisir de lire une nouvelle, L'homme dans la brume, qui s'inspirait des enquêtes du père Brown, de Chesterton.
Les enquêtes sont extrêmement variées. Nous passons du comique au drame, de la disparition volontaire au crime passionnel, sans oublier l'affaire d'espionnage pour laquelle les Beresford ont été effectivement engagées. Les personnages qu'ils croisent au cours de ses enquêtes n'en sont pas moins nettement caractérisés, de la lady kleptomane à l'actrice aussi belle que bête.
Associés contre le crime est un divertissement policier exquis.
Nina- ML
- Message n°197
Re: CHRISTIE, Agatha
Titre : Drame en trois actes.
Auteur : Agatha Christie.
Editeur : France Loisirs
p. 311 à 555.
Mon résumé :
Sir Charles Cartwright donne une réception dans sa villa Nid de Corneilles. Le pasteur, Mr Babbington, meurt subitement pendant la réception. Mort naturelle, pense-t-on. Mais quand le docteur Strange meurt quelque temps plus tard dans les mêmes circonstances et que l'enquête conclut à un empoisonnement, des questions se posent : et si le pasteur avait été assassiné lui aussi ? Mais pourquoi ? Hercule Poirot veille.
Mon avis :
Publié en 1935, ce roman est la dixième enquête d'Hercule Poirot. D'entrée de jeu, le détective m'a semblé un peu désabusé. il est à la retraite, il est riche, il parle anglais avec un fort accent, et même, dans cette oeuvre qui joue avec les codes du théâtre, il apparaît comme un second rôle. Hercule Poirot aurait-il des accès de modestie ? Il laisse même les rôles principaux à Sir Charles Cartwright, un comédien à la retraite, et à Hermione "Pomme" Lytton Gore, une jeune lady amoureuse du comédien. Grand seigneur, le petit détective belge veut que l'amour triomphe et grâce à lui, ce sera le cas. Je vous en ai trop dit ? Mais non : avez-vous déjà vu Hercule Poirot entraver une histoire d'amour sincère ? Et surtout : pensez-vous réellement qu'Hercule Poirot puisse devenir modeste ? Notre fameux détective belge joue un rôle, lui aussi, pour mieux duper le criminel.
Pas de capitaine Arthur Hastings dans ce Drame. Mr Sattlerthwaite, ami de Sir Charles, le remplace un peu, car il seconde efficacement Poirot dans son enquête, mais il n'est pas le narrateur de l'intrigue. Surtout, il est moins naïf qu'Hastings, même s'il ne parvient pas à avoir le dernier mot face à notre détective retraité (rappelons-le).
Trois actes, trois meurtres. Presque classique, dirions-nous. La police enquête mais elle reste dans les coulisses. Les trois détectives amateurs vont interroger tour à tour les sept suspects et (bien sûr) rapporter le résultat de ces entretiens à Hercule dont les petites cellules grises entrent en action. Le tueur a mis en scène chaque meurtre avec soin, Hercule entre en scène et fera bien mieux. Après ce tourbillon de rencontre et d'intrigue, le dénouement est à la fois sobre et stupéfiant. Jusqu'au bout, comme les autres protagonistes, je refusais d'y croire, tellement l'intrigue avait été habilement menée. Si ce roman est peu connu, je peux vous assurer qu'il mériterait de l'être davantage.
Nina- ML
- Message n°199
Re: CHRISTIE, Agatha
Merci Pinky pour ta visite.
J'esssaie de me tourner vers des titres moins connus.
J'esssaie de me tourner vers des titres moins connus.
Céline72- LEH
- Message n°200
Re: CHRISTIE, Agatha
Le crime de l'Orient-Express
Mon avis :
De l'intrigue dès le début, pas de temps mort....j'ai beaucoup aimé ce suspens qui dure tout au long de l'histoire et l'attitude d'Hercule Poirot est extraordinaire !
A savoir que c'est l'un des plus célèbres romans d'Agatha Christie.
Dix petits nègres
Mon avis :
Mon avis :
De l'intrigue dès le début, pas de temps mort....j'ai beaucoup aimé ce suspens qui dure tout au long de l'histoire et l'attitude d'Hercule Poirot est extraordinaire !
A savoir que c'est l'un des plus célèbres romans d'Agatha Christie.
Dix petits nègres
Mon avis :
Dans ce roman, pas d'Hercule Poirot, ni de Miss Marple, seulement dix personnages sur l'île du Nègre, isolés de tout.
Dès les premières pages, on ne perd pas un détail de ce qui est dit sur ces dix personnes, mais dès qu'on croit trouver le suspect, celui-ci meurt et c'est comme ça à tour de rôle.
Agatha Christie, nous livre ici une intrigue très bien ficelée avec du suspense du début à la fin, dans un huis-clos plutôt angoissant.
Pour conclure, je dirai que c'est un véritable coup de cœur pour ma part.
Dès les premières pages, on ne perd pas un détail de ce qui est dit sur ces dix personnes, mais dès qu'on croit trouver le suspect, celui-ci meurt et c'est comme ça à tour de rôle.
Agatha Christie, nous livre ici une intrigue très bien ficelée avec du suspense du début à la fin, dans un huis-clos plutôt angoissant.
Pour conclure, je dirai que c'est un véritable coup de cœur pour ma part.